Quand on est adepte des lasagnes maison on devrait savoir faire de la sauce Béchamel. Certes, je le sais, et je la réussis plutôt bien, sans craindre les grumeaux. Mais quand je suis (un peu) pressée comme aujourd'hui, la seule "corvée" d'épluchage des courgettes et le temps d'attente de leur cuisson suffit à pénaliser mon emploi du temps.
Avoir une boite toute prête à portée de main va me faire gagner de précieux instants. Le temps de rassembler tous les ingrédients, de les prendre en photo-souvenir et hop on démarre. Mais il ne manquerait pas sur le cliché ... les lasagnes précisément .... ?
Pendant que les oignons blondissent on épluche et on rondellise les courgettes qui remplaceront les oignons dans la sauteuse. On beurre le plat et on commence à réfléchir au positionnement des lasagnes qui seront cassées sur mesure, pour occuper le maximum de la superficie disponible.
J'ai ouvert un bocal de riste à l'aubergine Casino pour donner davantage de goût. Je les adore, chaudes ou froides. S'il en reste ce sera délicieux ce soir sur du pain de campagne grillé avec une salade verte.
On montera les couches selon l'humeur en alternant pâtes, oignons, courgettes, riste, béchamel etc ... en glissant du basilic près des courgettes et en terminant par béchamel emmenthal râpé.
Gloria semble avoir vu large en béchamel. Elle se conservera parfaitement sous le couvercle rouge qui est un plus indéniable (et elle conserve ses qualités quelques jours au réfrigérateur).
Gloria semble avoir vu large en béchamel. Elle se conservera parfaitement sous le couvercle rouge qui est un plus indéniable (et elle conserve ses qualités quelques jours au réfrigérateur).
Une fois le montage achevé et après avoir tassé entre les couches, le pot entier de sauce aura quasiment été consommé (j'en ai réservé deux cuillerées pour vérifier si, par exemple sur une galette de sarrasin, ce serait toujours aussi bon le lendemain).
Restait à patienter une trentaine de minutes le temps que le four fasse son propre ouvrage.
Restait à patienter une trentaine de minutes le temps que le four fasse son propre ouvrage.
On aurait tendance à raisonner de manière catégorique, soit en faisant du 100% maison, soit en achetant tout près alors qu'il y a des formules intermédiaires, sans pour autant verser dans la cuisine dite d'assemblage. Gloria nous en permet la démonstration.
J'aime le croquant de l'oignon, le fondant de la lasagne, la vitalité de la courgette, le parfum du basilic, la douceur de la riste. La béchamel est parfaite, ni trop épaisse, ni trop liquide.
Et le lendemain, le reste de béchamel fut tout aussi bon pour améliorer la galette aux légumes que j'ai préparé "sur le pouce" en puisant une poignée de légumes cuisinés à l'italienne dans un sachet en réserve dans le congélateur. Tellement bon d'ailleurs que je me suis dispensée d'ajouter de l'emmental rapé.
Terrine Appolia collection Délices couleur kiwi de forme rectangulaire.
Et le lendemain, le reste de béchamel fut tout aussi bon pour améliorer la galette aux légumes que j'ai préparé "sur le pouce" en puisant une poignée de légumes cuisinés à l'italienne dans un sachet en réserve dans le congélateur. Tellement bon d'ailleurs que je me suis dispensée d'ajouter de l'emmental rapé.
8h26 au Québec, devant mon écran au bureau, je mangerais bien un petit peu des deux!!! Qu'est-ce que le riste?
RépondreSupprimerLa riste (le mot est féminin) est une sorte de cousine de la ratatouille que l'on cuisine dans le midi de la France. Mais à différence de la ratatouille elle ne contient ni poivrons, ni courgettes. C'est une sorte de compotée d'aubergines cuites avec des oignons, de l'ail , des tomates et des aromates. Son gout est fondant et doux.
RépondreSupprimerce sont des légumes de saison ! Bon appétit malgré tout !
Des produits qui ont l'air sympas et dont j'ignorais l'existence :)
RépondreSupprimerbises,
Angie