On souhaite une bonne année 2024

Nous y voici. Nous avons passé un nouveau cap … à l'instar de cette petite Pauline, l'héroïne du dernier album que j'ai lu en 2023, et dont je recommande la lecture à tous les âges.

Cette année 2024 démarre bizarrement pour moi parce que -contrairement aux précédents hivers- je ne suis pas avec ma fille au Mexique et que de multiples souvenirs me traversent. Elle-même est loin de son pays. Elle se rapproche du pôle diamétralement opposé à celui vers lequel progresse Pauline. Elle est en Patagonie et je suis sûre qu'elle va être épatée par les manchots empereur comme leur grand ami et protecteur Luc Jaquet.

Bonne et heureuse année ! Le rituel ne remonte pas à la nuit des temps mais il est bien installé depuis presque deux siècles, après que la coutume des vœux soit devenue postale grâce à un Anglais, Sir Henry Cole (1808-1882), qui inventa en 1843 la carte de Noël et qui joua un rôle majeur entre l'art et l'industrie.

Certes, on reçoit, de façon générale d’ailleurs, de moins en moins de courrier. Les voeux électroniques représentent la majorité des flux. Ça serait une énorme surprise de trouver une carte venant du Pôle Sud dans ma boite aux lettres. Mais qui sait ? Il y a des souhaits que je n'osais voir se réaliser, et qui pourtant se sont concrétisés. Il faut y croire, encore et toujours, sachant que chacun doit être acteur de sa vie. Cela me donne envie de reprendre la formule de Philippe Geluck : Meilleurs voeux pour toute la vie, comme ça c'est fait une fois pour toutes.

Savez-vous que 365 jours comptabilisent 31 536 000 secondes ? C’est autant de particules de bonheur pour qui saura en jouir.

On ne souhaite pas la "bonne" année au Mexique. On dit "Feliz año nuevo", ce qui signifie Heureuse nouvelle année et c’est ainsi que je vous propose d’aborder ce mois de janvier. Et surtout … prenez soin de vous, des autres et … de la planète aussi.

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La photo qui illustre cet article est celle d’un sapin stylisé, nommé Laurel, conçu par Virginie Broquet, dans l’esprit des fêtes de fin d’année, et qui a été installé dans la rotonde du château de l’Eglantine, qui abrite les anciens appartements des époux Oberkampf et le musée de la toile de Jouy de Jouy-en- Josas (78).