On sait qu'il faut consommer des légumes et boire abondamment mais on ne le fait jamais assez.
C'est qu'il faut être aussi créatif pour une "simple" soupe que pour les autres plats. Et ne pas hésiter à voire grand pour varier ensuite les plaisirs.
J'ai employé cette fois environ 1200 ml d’eau filtrée, un demi bâton de cannelle, un anis étoilé, 1 cm de gingembre frais, 1 oignon en rondelles très fines, un demi-poivron rouge en lamelles fines, un morceau de tige de céleri (environ 15 cm), une toute petite carotte coupée en sifflet.
Après trente minutes à petits bouillons, on réserve la moitié de la préparation pour un usage ultérieur et on garde l'autre pour poursuivre la recette.
Dans cette moitié on verse une "marmite de bouillon Knorr" saveur bœuf et dès la reprise de l'ébullition on y fait cuire une poignée de vermicelles de soja.
On sert bouillant saupoudré de coriandre. Inutile de saler ou de poivrer ce bouillon très harmonieusement parfumé, plus facile à déguster qu'à photographier à travers la vapeur qui se dégage ... m'inspirant cet intitulé un peu surprenant, mood signifiant brouillard en anglais, in the mood for love étant un film culte de Wong Kar-Wai, et pho le terme qui désigne les bouillons dans le monde oriental.
J'ai découvert ces petites "marmites" qui ont plusieurs intérêts : elles sont sans conservateur, sans colorants artificiels et sans exhausteurs de goût, et principalement sans glutamate (souvenez-vous que c'est un poison pour la santé et traquez le dans vos placards) ; portionnables a minima (on peut prélever à la cuillère la quantité nécessaire et conserver l'autre jusqu'au lendemain au frigo). Elles existent en trois déclinaisons : bœuf, poule et légumes.
Les bouillons cubes classiques doivent être dilués auparavant dans un demi-litre d'eau bouillante, ce qui suppose de le prévoir. Les marmites s'emploient en fin de cuisson, autorisent davantage de façons de procéder, notamment pour améliorer ou modifier le goût d'un plat. Et surtout elles ne "détrempent" pas une fondue de légumes ou des restes de riz ou de pâtes qu'on ne pourrait pas replonger dans un bouillon.
C'est qu'il faut être aussi créatif pour une "simple" soupe que pour les autres plats. Et ne pas hésiter à voire grand pour varier ensuite les plaisirs.
J'ai employé cette fois environ 1200 ml d’eau filtrée, un demi bâton de cannelle, un anis étoilé, 1 cm de gingembre frais, 1 oignon en rondelles très fines, un demi-poivron rouge en lamelles fines, un morceau de tige de céleri (environ 15 cm), une toute petite carotte coupée en sifflet.
Après trente minutes à petits bouillons, on réserve la moitié de la préparation pour un usage ultérieur et on garde l'autre pour poursuivre la recette.
Dans cette moitié on verse une "marmite de bouillon Knorr" saveur bœuf et dès la reprise de l'ébullition on y fait cuire une poignée de vermicelles de soja.
On sert bouillant saupoudré de coriandre. Inutile de saler ou de poivrer ce bouillon très harmonieusement parfumé, plus facile à déguster qu'à photographier à travers la vapeur qui se dégage ... m'inspirant cet intitulé un peu surprenant, mood signifiant brouillard en anglais, in the mood for love étant un film culte de Wong Kar-Wai, et pho le terme qui désigne les bouillons dans le monde oriental.
J'ai découvert ces petites "marmites" qui ont plusieurs intérêts : elles sont sans conservateur, sans colorants artificiels et sans exhausteurs de goût, et principalement sans glutamate (souvenez-vous que c'est un poison pour la santé et traquez le dans vos placards) ; portionnables a minima (on peut prélever à la cuillère la quantité nécessaire et conserver l'autre jusqu'au lendemain au frigo). Elles existent en trois déclinaisons : bœuf, poule et légumes.
Les bouillons cubes classiques doivent être dilués auparavant dans un demi-litre d'eau bouillante, ce qui suppose de le prévoir. Les marmites s'emploient en fin de cuisson, autorisent davantage de façons de procéder, notamment pour améliorer ou modifier le goût d'un plat. Et surtout elles ne "détrempent" pas une fondue de légumes ou des restes de riz ou de pâtes qu'on ne pourrait pas replonger dans un bouillon.
4 commentaires:
le glutamate, un poison ?? j'utilise très régulièrement des bouillons cube et je m'inquiète ...quels effets délétères sur la santé ?
Merci pour cette recette : Fiston rentré cet été du Vietnam me réclame depuis des Pho que j'étais jusqu'à ce soir bien incapable d'improviser . Demain, j'essaie !
Bonne soirée à vous.
Le mot "poison" est une image, forte je le reconnais, pour faire prendre conscience que ce n'est pas bon pour la santé.
J'aurais pu en dire autant du sel dont on connait les effets nocifs sur le système cardio-vasculaire.
Rassure-toi ce n'est pas dramatique de consommer du glutamate mais vaut mieux éviter. Il est conseillé fortement de privilégier les produits sans glutamate. Lire les étiquettes c'est essentiel.
Bon appétit !
MC, une pho bien appétissante . je peux me tromper mais je ne traduirais pas In the mood for love comme toi. Il est question de pho à un moment du film mais point de brouillard..Ton inconscient, subconscient...que sais-je te joue des tours.
On soupe beaucoup ici aussi.
Absolutely right !
C'est moi qui suis dans le brouillard ... le titre fonctionne mieux d'ailleurs en le traduisant correctement par "humeur".
Enregistrer un commentaire