Vous avez sans doute déjà entrevu ces jours-ci l'affiche de la Route, le film tiré du roman éponyme écrit par Cormac McCarthy. J'avais beaucoup apprécié ce livre, malgré la rudesse du sujet. Et je n'avais pas été la seule puisque après le prestigieux Prix Pulitzer il avait été élu par les lecteurs de la médiathèque d'Antony (92) en juin dernier.
John Hillcoat a tourné l'adaptation cinématographique en Pennsylvanie - autour du lac Erié et dans les zones minières -, en Louisiane - dans les régions frappées par l'ouragan Katrina - et en Oregon, avec Viggo Mortensen et Charlize Theron.
The Road, tel est son nom américain, a été présenté en première mondiale et en compétition le 3 septembre 2009 à la 66e Mostra de Venise, puis aux festivals de Telluride (Colorado), de Toronto, Sitges et Londres.
La Route retrace l'épopée poignante d'un père guidant son fils sur une planète ravagée, dans un monde de cannibalisme. Impossible de lire cet ouvrage qui fait penser au théâtre d'Edward Bond sans éprouver de puissantes sensations physiques. Mais ce n'est rien comparativement à ce que j'ai ressenti en visionnant les bandes-annonces que je renonce à inclure dans le présent billet. Je préfère vous inciter très vivement à lire le livre d'où il émane une certaine poésie et un esprit philosophique très puissant. Trop de violence nuit à la réflexion me semble-t-il.
Pour lire ou relire ce que j'avais écrit à propos du livre cliquer ici.
John Hillcoat a tourné l'adaptation cinématographique en Pennsylvanie - autour du lac Erié et dans les zones minières -, en Louisiane - dans les régions frappées par l'ouragan Katrina - et en Oregon, avec Viggo Mortensen et Charlize Theron.
The Road, tel est son nom américain, a été présenté en première mondiale et en compétition le 3 septembre 2009 à la 66e Mostra de Venise, puis aux festivals de Telluride (Colorado), de Toronto, Sitges et Londres.
La Route retrace l'épopée poignante d'un père guidant son fils sur une planète ravagée, dans un monde de cannibalisme. Impossible de lire cet ouvrage qui fait penser au théâtre d'Edward Bond sans éprouver de puissantes sensations physiques. Mais ce n'est rien comparativement à ce que j'ai ressenti en visionnant les bandes-annonces que je renonce à inclure dans le présent billet. Je préfère vous inciter très vivement à lire le livre d'où il émane une certaine poésie et un esprit philosophique très puissant. Trop de violence nuit à la réflexion me semble-t-il.
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