Muriel Khamouguinoff n'est pas seulement spécialiste en yaourts (comme je l'écrivais l'été dernier) elle l'est aussi en pains. j'ai d'ailleurs eu l'occasion de goûter une de ses fabrications maison lors d'un pique-nique mémorable de bloggeurs dans le parc de Bercy. Et je suis déjà impatiente du prochain, mais je m'égare.
J'avais son livre depuis longtemps mais ma fidélité paresseuse à ma machine à pain était inébranlable ... jusqu'à ce que tout de même j'ose faire un essai en catimini, histoire d'affronter seule la déconvenue d'un ratage. Etait-ce la qualité de la recette ou la foi inconsciente en une compétence très bien cachée ou encore l'influence du livre de Florence Servan-Schreiber, 3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science pour cultiver le bonheur (dont je vous dirai prochainement tout le bien que je pense, à l'inverse des Petits secrets de bonheur), toujours est-il que l'expérience fut un franc succès.
Et je salue une nouvelle fois le talent de Muriel, en me demandant dans quelle autre spécialité culinaire elle va me surprendre la prochaine fois.
Pour faire le pain au parmesan et aux tomates confites de Muriel (recette page 44) il faudra :
100 grammes de tomates confites en bocal
130 grammes de farine d'épeautre
150 grammes de farine T65 (j'avais de la T55 qui a été très correcte)
1/2 sachet de levure de boulanger
1 petite cuillerée à café de sel
60 grammes de parmesan
18 cl d'eau
On pétrit farine, levure, sel, tomates (égouttées) et parmesan en incorporant l'eau petit à petit.
Une fois obtenue une belle boule on la laisse lever 1 heure sous un torchon dans une pièce assez chaude.
On chasse ensuite l'air en appuyant sur le pâton avec la paume de la main. On remet en forme et on laisse lever 40 minutes sur le papier sulfurisé de la plaque de cuisson.
On préchauffe le four à 275° pendant 20 minutes après avoir posé une coupelle d'eau sur la sole.
On incise le pâton comme sur la photo ci-dessus. On enfourne pour 40 minutes en ayant ramené la température à 230°. Reste à déguster (photo ci-contre) avec par exemple une salade assaisonnée d'une excellente huile biologique de Sous les arbres que vous trouverez par exemple chez Miss Terroir que j'ai récemment découverte (voir billet du 27 janvier).
J'avais son livre depuis longtemps mais ma fidélité paresseuse à ma machine à pain était inébranlable ... jusqu'à ce que tout de même j'ose faire un essai en catimini, histoire d'affronter seule la déconvenue d'un ratage. Etait-ce la qualité de la recette ou la foi inconsciente en une compétence très bien cachée ou encore l'influence du livre de Florence Servan-Schreiber, 3 kifs par jour et autres rituels recommandés par la science pour cultiver le bonheur (dont je vous dirai prochainement tout le bien que je pense, à l'inverse des Petits secrets de bonheur), toujours est-il que l'expérience fut un franc succès.
Et je salue une nouvelle fois le talent de Muriel, en me demandant dans quelle autre spécialité culinaire elle va me surprendre la prochaine fois.
Pour faire le pain au parmesan et aux tomates confites de Muriel (recette page 44) il faudra :
100 grammes de tomates confites en bocal
130 grammes de farine d'épeautre
150 grammes de farine T65 (j'avais de la T55 qui a été très correcte)
1/2 sachet de levure de boulanger
1 petite cuillerée à café de sel
60 grammes de parmesan
18 cl d'eau
On pétrit farine, levure, sel, tomates (égouttées) et parmesan en incorporant l'eau petit à petit.
Une fois obtenue une belle boule on la laisse lever 1 heure sous un torchon dans une pièce assez chaude.
On chasse ensuite l'air en appuyant sur le pâton avec la paume de la main. On remet en forme et on laisse lever 40 minutes sur le papier sulfurisé de la plaque de cuisson.
On préchauffe le four à 275° pendant 20 minutes après avoir posé une coupelle d'eau sur la sole.
On incise le pâton comme sur la photo ci-dessus. On enfourne pour 40 minutes en ayant ramené la température à 230°. Reste à déguster (photo ci-contre) avec par exemple une salade assaisonnée d'une excellente huile biologique de Sous les arbres que vous trouverez par exemple chez Miss Terroir que j'ai récemment découverte (voir billet du 27 janvier).
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