Faire cuire quelques carottes et une poignée d'haricots verts dans une eau bouillante salée. Égoutter. Écraser grossièrement à la fourchette en ajoutant une demi-marmite de bouillon de légumes (voir en fin de billet), de la coriandre (à cette saison elle sort forcément du congélateur). Maintenir au chaud.
Disposer des rondelles de Montbéliard en écailles sur une assiette de couleur contrastée. Puis poser dessus deux emporte-pièce en forme de cœur. Les remplir de la préparation de légumes. Saupoudrer l'un d'entre eux de biscotte écrasée et d'un soupçon de sucre en poudre. Caraméliser au fer.
Déguster en murmurant "yummy" comme le diraient des Anglais célébrant la Saint-Valentin avec ferveur !
J'ai découvert ces petites "marmites" qui ont plusieurs intérêts : elles sont sans conservateur, sans colorants artificiels et sans exhausteurs de goût, et principalement sans glutamate (souvenez-vous que c'est un poison pour la santé et traquez le dans vos placards) ; portionnables a minima (on peut prélever à la cuillère la quantité nécessaire et conserver l'autre jusqu'au lendemain au frigo). Elles existent en trois déclinaisons : bœuf, poule et légumes. J'avais employé la saveur "boeuf" dans un bouillon vietnamien.
Les bouillons cubes classiques doivent être dilués auparavant dans un demi-litre d'eau bouillante, ce qui suppose de le prévoir. Les marmites s'emploient en fin de cuisson, autorisent davantage de façons de procéder, notamment pour améliorer ou modifier le goût d'un plat. Et surtout elles ne "détrempent" pas une fondue de légumes ou des restes de riz ou de pâtes qu'on ne pourrait pas replonger dans un bouillon.
Disposer des rondelles de Montbéliard en écailles sur une assiette de couleur contrastée. Puis poser dessus deux emporte-pièce en forme de cœur. Les remplir de la préparation de légumes. Saupoudrer l'un d'entre eux de biscotte écrasée et d'un soupçon de sucre en poudre. Caraméliser au fer.
Déguster en murmurant "yummy" comme le diraient des Anglais célébrant la Saint-Valentin avec ferveur !
J'ai découvert ces petites "marmites" qui ont plusieurs intérêts : elles sont sans conservateur, sans colorants artificiels et sans exhausteurs de goût, et principalement sans glutamate (souvenez-vous que c'est un poison pour la santé et traquez le dans vos placards) ; portionnables a minima (on peut prélever à la cuillère la quantité nécessaire et conserver l'autre jusqu'au lendemain au frigo). Elles existent en trois déclinaisons : bœuf, poule et légumes. J'avais employé la saveur "boeuf" dans un bouillon vietnamien.
Les bouillons cubes classiques doivent être dilués auparavant dans un demi-litre d'eau bouillante, ce qui suppose de le prévoir. Les marmites s'emploient en fin de cuisson, autorisent davantage de façons de procéder, notamment pour améliorer ou modifier le goût d'un plat. Et surtout elles ne "détrempent" pas une fondue de légumes ou des restes de riz ou de pâtes qu'on ne pourrait pas replonger dans un bouillon.
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