Une de mes amies m'a alertée sur le changement d'heure. On a beau être habitué le doute est toujours présent. Je reprends son moyen mnémotechnique (merci Malika) :
Octobre se termine par RE donc on recule d'une heure.
Avril commence par AV donc on avance d'une heure.
Pour ma part je vis sans montre depuis belle lurette, ce qui me permet soit dit en passant d'être beaucoup moins en retard que du temps où j'en portais, ce qui a sans doute à voir avec le syndrome du lapin de Lewis Caroll. Par contre il m'est assez délicat de me reprogrammer. Il me faut bien une semaine, mais au moins cela se fait en douceur.
A titre de bonus je vous donne l'origine de la "lurette", un mot qui ne s'emploie que dans cette locution adverbiale : il y a belle lurette.
On disait autrefois " il y a belle heurette ", heurette étant un diminutif du mot "heure". Et puis à force de mal prononcer c'est devenu une belle lurette. L'association entre l'adjectif « belle » avec un diminutif de temps renforce d'ailleurs la durée, comme dans " un bon bout de temps ".
L'avantage c'est que cette nuit on "gagne" une heure, mais ce n'est pas Lavoisier qui me contredira : rien ne se créé, rien ne se perd. On redonnera cette heure en avril. Et puisque je suis partie dans les aphorismes j'en vous donne un en superbonus que mes amis entendent souvent lorsqu'il faut chercher un objet perdu en gardant l'espoir de le retrouver : rien ne se perd ... tout s'égare.
Merci à ceux qui m'ont adressé des messages de sympathie depuis quelques jours. Qu'ils soient rassurés : le sourire (égaré seulement) est revenu.
Octobre se termine par RE donc on recule d'une heure.
Avril commence par AV donc on avance d'une heure.
Pour ma part je vis sans montre depuis belle lurette, ce qui me permet soit dit en passant d'être beaucoup moins en retard que du temps où j'en portais, ce qui a sans doute à voir avec le syndrome du lapin de Lewis Caroll. Par contre il m'est assez délicat de me reprogrammer. Il me faut bien une semaine, mais au moins cela se fait en douceur.
A titre de bonus je vous donne l'origine de la "lurette", un mot qui ne s'emploie que dans cette locution adverbiale : il y a belle lurette.
On disait autrefois " il y a belle heurette ", heurette étant un diminutif du mot "heure". Et puis à force de mal prononcer c'est devenu une belle lurette. L'association entre l'adjectif « belle » avec un diminutif de temps renforce d'ailleurs la durée, comme dans " un bon bout de temps ".
L'avantage c'est que cette nuit on "gagne" une heure, mais ce n'est pas Lavoisier qui me contredira : rien ne se créé, rien ne se perd. On redonnera cette heure en avril. Et puisque je suis partie dans les aphorismes j'en vous donne un en superbonus que mes amis entendent souvent lorsqu'il faut chercher un objet perdu en gardant l'espoir de le retrouver : rien ne se perd ... tout s'égare.
Merci à ceux qui m'ont adressé des messages de sympathie depuis quelques jours. Qu'ils soient rassurés : le sourire (égaré seulement) est revenu.
1 commentaire:
Merci Marie-Claire, je ne connaissais pas ce moyen mnémotechnique !! Pour ma part, je me souviens d'une anecdote arrivée au printemps d'une année ...alors que le changement d'horaire tombait le dimanche des Rameaux (que ceux qui voulaient une cérémonie courte lèvent le doigt!!)... donc je sais qu'au printemps on avance, et en automne on recule...
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