Je l'avais photographiée lundi dernier. Sa couleur violette m'avait attirée. Souvenez-vous : c'est la Bianca rotonda sfumata di rosa, appréciée par les italiens.
Il était temps de la cuisiner. D'abord l'ouvrir. Heureuse surprise : la chair est dense, et elle a peu de pépins. En conclusion : aucune perte hormis les feuilles et le pédoncule, autant dire pas grand chose.
Et me voilà à tergiverser sur l'emploi du légume. Peut-être avec un oignon rouge, pour rester dans la même gamme de couleur ... Le temps passe. La chair ne noircit pas. Deuxième bon point. Décidément le patron de la ferme de la Racinerie où je me suis approvisionnée sait choisir les variétés de ses légumes.
Je me demande comment cette aubergine va réagir à la cuisson. Et je décide de faire au plus simple. J'avais gagné une série de casseroles faitouts en me classant troisième à un concours de cuisine que je n'avais pas encore étrennées. J'attendais d'avoir déménagé pour les sortir de leurs cartons.
Les couvercles assortis étant transparents c'était l'occasion de pouvoir suivre la cuisson de très près.
Je ne me doutais alors pas que j'avais craqué une allumette sous un ustensile haut de gamme. Mais c'est une autre découverte que je raconterai un autre jour.
Donc voici mes aubergines qui mijotent en se laissant photographier sans changer de couleur. (Ce couvercle est pratique à tous points de vue).
Comme il était fort tard je les ai laissées refroidir dans le plat de cuisson. Et voilà que ce midi la faim me taraude. Je les goute avant de les réchauffer et je les trouve délicieusement fondantes, à tel point que je vais les manger à cette température, avec tout de même un œuf mollet tiède et deux tranches de jambon cru. Elles ont pris en refroidissant de jolis reflets bleu acier qui me font penser aux poteries en terre égyptienne. Du beau, du bon, qui l'eut cru ?
Ferme de la Racinerie, 237 rue Haute, 45590 Saint-Cyr-en-Val, 02.38.69.21.35, ouverte tous les jours, même le dimanche, de 8 heures à 20 heures du jour. On peut cueillir en plein champ ou acheter directement.
Il était temps de la cuisiner. D'abord l'ouvrir. Heureuse surprise : la chair est dense, et elle a peu de pépins. En conclusion : aucune perte hormis les feuilles et le pédoncule, autant dire pas grand chose.
Et me voilà à tergiverser sur l'emploi du légume. Peut-être avec un oignon rouge, pour rester dans la même gamme de couleur ... Le temps passe. La chair ne noircit pas. Deuxième bon point. Décidément le patron de la ferme de la Racinerie où je me suis approvisionnée sait choisir les variétés de ses légumes.
Je me demande comment cette aubergine va réagir à la cuisson. Et je décide de faire au plus simple. J'avais gagné une série de casseroles faitouts en me classant troisième à un concours de cuisine que je n'avais pas encore étrennées. J'attendais d'avoir déménagé pour les sortir de leurs cartons.
Les couvercles assortis étant transparents c'était l'occasion de pouvoir suivre la cuisson de très près.
Je ne me doutais alors pas que j'avais craqué une allumette sous un ustensile haut de gamme. Mais c'est une autre découverte que je raconterai un autre jour.
Donc voici mes aubergines qui mijotent en se laissant photographier sans changer de couleur. (Ce couvercle est pratique à tous points de vue).
Comme il était fort tard je les ai laissées refroidir dans le plat de cuisson. Et voilà que ce midi la faim me taraude. Je les goute avant de les réchauffer et je les trouve délicieusement fondantes, à tel point que je vais les manger à cette température, avec tout de même un œuf mollet tiède et deux tranches de jambon cru. Elles ont pris en refroidissant de jolis reflets bleu acier qui me font penser aux poteries en terre égyptienne. Du beau, du bon, qui l'eut cru ?
Ferme de la Racinerie, 237 rue Haute, 45590 Saint-Cyr-en-Val, 02.38.69.21.35, ouverte tous les jours, même le dimanche, de 8 heures à 20 heures du jour. On peut cueillir en plein champ ou acheter directement.
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