C'est l'épice indissociable du couscous mais on peut l'utiliser sans passer la journée aux fourneaux. Par exemple sur des courgettes.
Le raz-el-hanout est un mélange d'épices typiquement moyen-oriental, originaire du Maroc traditionnellement composé d'une vingtaine d'épices différentes ... au moins ! avec toujours de la cannelle, du gingembre, de la coriandre, de la girofle, de la cardamome, du cumin, de la muscade, du poivre noir et du curcuma. J'en ai vu aussi avec des fleurs séchées, notamment des boutons de rose. Chaque épicier a sa recette puisque l'expression signifie "le dessus de la boutique".
J'ai employé une variété de courgettes chinoises. Qu'on se rassure : je ne suis pas allée au bout du monde pour les couper moi-même en plein champ.
Une centaine de kilomètres au sud de Paris ont suffi.
Leur particularité est d'être à la fois fermes et fondantes, ce qui n'est pas l'apanage d'une seule marque de yaourt ... et il est quasi inutile de les éplucher.
Un peu d'huile au fond d'une sauteuse en forme de wok. Puis on saupoudre de raz-el-hanout et on ajoute alors des tomates cerises (elles aussi cueillies le même jour). On laisse mijoter jusqu'à caramélisation mais pas davantage. Pour servir "joli" on rajoute quelques demi tomates-cerises crues.
L'idée de cette recette m'est venue spontanément après avoir salivé devant les photos du curry indien de Nawal, rencontrée au pique-nique de dimanche, et qui estime à juste titre qu'une association de cru et de cuit a tout son sens. A défaut d'avoir gouté son plat j'ai presque eu l'impression d'avoir été invitée dans sa cuisine.
Le raz-el-hanout est un mélange d'épices typiquement moyen-oriental, originaire du Maroc traditionnellement composé d'une vingtaine d'épices différentes ... au moins ! avec toujours de la cannelle, du gingembre, de la coriandre, de la girofle, de la cardamome, du cumin, de la muscade, du poivre noir et du curcuma. J'en ai vu aussi avec des fleurs séchées, notamment des boutons de rose. Chaque épicier a sa recette puisque l'expression signifie "le dessus de la boutique".
J'ai employé une variété de courgettes chinoises. Qu'on se rassure : je ne suis pas allée au bout du monde pour les couper moi-même en plein champ.
Une centaine de kilomètres au sud de Paris ont suffi.
Leur particularité est d'être à la fois fermes et fondantes, ce qui n'est pas l'apanage d'une seule marque de yaourt ... et il est quasi inutile de les éplucher.
Un peu d'huile au fond d'une sauteuse en forme de wok. Puis on saupoudre de raz-el-hanout et on ajoute alors des tomates cerises (elles aussi cueillies le même jour). On laisse mijoter jusqu'à caramélisation mais pas davantage. Pour servir "joli" on rajoute quelques demi tomates-cerises crues.
L'idée de cette recette m'est venue spontanément après avoir salivé devant les photos du curry indien de Nawal, rencontrée au pique-nique de dimanche, et qui estime à juste titre qu'une association de cru et de cuit a tout son sens. A défaut d'avoir gouté son plat j'ai presque eu l'impression d'avoir été invitée dans sa cuisine.
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