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lundi 9 août 2010

Amour en cage

C'est une de mes plantes préférées. Pour de multiples raisons.

Son nom assez étonnant parce qu'en comprendre la subtilité exige de la patience. A l'automne les coques en forme de lanterne passeront du vert au jaune puis à un orange vif avant de se dessécher doucement et de devenir comme "grillagées". Le fruit, rond comme une petite bille acidulée orange elle aussi, apparaitra alors par transparence. Rien d'étonnant à ce qu'on appelle aussi cette plante "lanterne japonaise".

Au Québec on la nomme "groseille du Cap".
Il est vrai que les fruits sont comestibles, et vendus très chers.

Deuxième raison, évidemment c'est le gout acidulé de ce mets décoratif et d'exception.

Troisième raison : à défaut de les manger ces lanternes sèchent très bien et composent de magnifiques bouquets secs.

Quatrième raison, essentielle, la plante, dont le nom savant est physalis, se cultive très commodément partout.

C'est une des premières plantations que j'ai faites sur un simple rebord de fenêtre, en transplantant un pied qui était déjà fleuri.

Nul besoin de le couper au ras du sol pour lui conserver sa vigueur.

Elle a continué à se développer sans frémir malgré la chaleur estivale.

Et en plus elle sera résistante au froid.

1 commentaire:

Armande a dit…

Démarrer par un amour en cage, quelle belle idée !

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