Ce n'est pas parce que c'est l'époque des confitures qu'on ne pourrait pas faire confire ... de l'ail.
C'est excellent pour la santé, en particulier pour le cœur et la circulation du sang et si on supprime l'inconvénient de la ténacité du parfum de ce condiment dans la bouche du gourmet ou de la gourmette on a gagné sur tous les plans.
C'est assez facile : suffit de la confire, c'est-à-dire de cuire les gousses (épluchées tout de même) dans l'huile d'olive et les aromates de son choix une bonne quarantaine de minutes à tout petit feu.
Ma version est agrémentée de laurier, romarin, thym, sel aux aromates et divers grains de poivre.
J'ai transféré ensuite les gousses dans un petit pot de conserves de forme rigolote à l'abri de l'air.
On l'oublie quelques jours au frais et on prélève ensuite les éclats un par un au fur et à mesure des besoins, par exemple pour rehausser un fromage de chèvre plutôt banal.
L'huile devrait conserver longtemps la préparation, sauf excès de gourmandise.
C'est excellent pour la santé, en particulier pour le cœur et la circulation du sang et si on supprime l'inconvénient de la ténacité du parfum de ce condiment dans la bouche du gourmet ou de la gourmette on a gagné sur tous les plans.
C'est assez facile : suffit de la confire, c'est-à-dire de cuire les gousses (épluchées tout de même) dans l'huile d'olive et les aromates de son choix une bonne quarantaine de minutes à tout petit feu.
Ma version est agrémentée de laurier, romarin, thym, sel aux aromates et divers grains de poivre.
J'ai transféré ensuite les gousses dans un petit pot de conserves de forme rigolote à l'abri de l'air.
On l'oublie quelques jours au frais et on prélève ensuite les éclats un par un au fur et à mesure des besoins, par exemple pour rehausser un fromage de chèvre plutôt banal.
L'huile devrait conserver longtemps la préparation, sauf excès de gourmandise.
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