Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été.
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant.
Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été.
La feuille d'automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant.
Cette ritournelle revenait chaque année à la rentrée, non pas littéraire, mais scolaire pour signifier que les vacances étaient bien terminées. La poésie s'achevait sur
Et ce chant dans mon cœur, murmure, murmure
Et ce chant dans mon cœur appelle le bonheur.
Et ce chant dans mon cœur appelle le bonheur.
Comment dans ces conditions regretter longtemps les châteaux de sable et les cheveux mouillés de sel. Nous renfilions les chaussettes, redescendions nos manches et acceptions de plier sous le poids de cartables qui n'étaient pas encore munis de roulettes.
La brusque flambée des cyclamens sauvages sur ma pelouse tonsurée m'évoque cet épisode de l'enfance. Peu d'entre nous se souviennent de l'auteure, Francine Cokempot. D'autres penseront à la dernière chanson de l'album de Francis Cabrel les Murs de poussière (1977). Il l'avait simplement intitulée Automne. Une saison qui commence aujourd'hui.
La brusque flambée des cyclamens sauvages sur ma pelouse tonsurée m'évoque cet épisode de l'enfance. Peu d'entre nous se souviennent de l'auteure, Francine Cokempot. D'autres penseront à la dernière chanson de l'album de Francis Cabrel les Murs de poussière (1977). Il l'avait simplement intitulée Automne. Une saison qui commence aujourd'hui.
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