Après avoir refermé Paris-Brest, la question de la vue sur la mer me trottait dans la tête. Alors forcément, quand j'ai vu ces mots sur la couverture du livre de Didier Decoin je me suis empressée de le lire.
Le style est savoureux à souhait. Il relate avec force humour la recherche de la maison de ses rêves, rendue accessible grâce aux droits d'auteur de John l'enfer qui lui valu le Prix Goncourt. Il narre aussi les travaux et les aménagements successifs. Nous explorons avec lui l'extrême pointe du Cotentin, le phare de Goury et le Raz Blanchard ... que j'avais quitté il y a peu puisque c'était le décor des Déferlantes de Claudie Gallay, Grand prix des Lectrices de ELLE d'ailleurs.
Enfant 44 m'avait renvoyée à Celui qui sait, comme je l'ai déjà dit. Mais en m'intéressant à Didier Decoin, secrétaire perpétuel de l'académie des Goncourt, lequel secrétariat est basé à Nancy, ville qui accueille une manifestation littéraire de grande ampleur, le Livre sur la place les 18-19 et 20 septembre prochain, et où je me rendrai cette année, je découvre que son dernier roman Est-ce ainsi que les femmes meurent ? est un policier assez "parallèle" à Enfant 44, même si l'histoire se passe aux USA et qu'il s'agit de l'assassinat d'une femme, Kitty Genovese, et non plus d'enfants.
Quant à l'homme qui m'aimait tout bas, il me renvoit à cette autre filiation, Henri ou henry, le roman de mon père qui est un ouvrage de la plume de ... Didier Decoin, toujours et encore.
Quel que soit le coté où mon regard se tourne il me ramène toujours à lui.
Un auteur incontournable en quelque sorte.
Et qui plus est dont l'écriture est magnifique.
J'espère le rencontrer à Nancy et avoir l'occasion d'en faire le portrait.
Le style est savoureux à souhait. Il relate avec force humour la recherche de la maison de ses rêves, rendue accessible grâce aux droits d'auteur de John l'enfer qui lui valu le Prix Goncourt. Il narre aussi les travaux et les aménagements successifs. Nous explorons avec lui l'extrême pointe du Cotentin, le phare de Goury et le Raz Blanchard ... que j'avais quitté il y a peu puisque c'était le décor des Déferlantes de Claudie Gallay, Grand prix des Lectrices de ELLE d'ailleurs.
Enfant 44 m'avait renvoyée à Celui qui sait, comme je l'ai déjà dit. Mais en m'intéressant à Didier Decoin, secrétaire perpétuel de l'académie des Goncourt, lequel secrétariat est basé à Nancy, ville qui accueille une manifestation littéraire de grande ampleur, le Livre sur la place les 18-19 et 20 septembre prochain, et où je me rendrai cette année, je découvre que son dernier roman Est-ce ainsi que les femmes meurent ? est un policier assez "parallèle" à Enfant 44, même si l'histoire se passe aux USA et qu'il s'agit de l'assassinat d'une femme, Kitty Genovese, et non plus d'enfants.
Quant à l'homme qui m'aimait tout bas, il me renvoit à cette autre filiation, Henri ou henry, le roman de mon père qui est un ouvrage de la plume de ... Didier Decoin, toujours et encore.
Quel que soit le coté où mon regard se tourne il me ramène toujours à lui.
Un auteur incontournable en quelque sorte.
Et qui plus est dont l'écriture est magnifique.
J'espère le rencontrer à Nancy et avoir l'occasion d'en faire le portrait.
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