La Vallée aux loups aménagée par Chateaubriand composait un cadre grandiose. Cet homme était un fou de botanique. Savez-vous que le saule bleu pleureur qu'il a ramené du Liban (visible dans l'arboretum) est l'ancêtre de tous les saules bleus pleureurs existants au monde ? Un arbre dont l'envergure est comparable à la superficie d'une cour d'école ...
L'écrivain a ramené de ses voyages des arbres extraordinaires qu'il plantait pour les générations futures et nous pouvions savourer ce bonheur d'être là, et qui plus en qualité d' "invités" (la soirée d'ouverture était gratuite sur réservation dans la limite des places disponibles). Impossible de trouver un écrin plus grandiose à ce festival de cinéma associant les paysages à la toile.
Frédérique Bruyas nous a lu des récits de voyages de Chateaubriand dans lesquels il compare le paysagiste à une femme qui ferait de la dentelle.
Il y eut bien entendu les discours officiels de circonstance. Nous avons appris combien le concept de Vallée de la culture s'incarnait sur trois pôles, dont le premier est à Châtenay avec la Vallée aux loups, (avec le parc de Sceaux et les jardins du musée Albert Kahn). Cette année le pays à l'honneur du festival est l'Inde. Un pays avec lequel le département entretient des relations régulières depuis qu'Albert Kahn a reçu Rabindranath Tagore, prix Nobel de littérature en 1913. Le Musée Albert-Kahn présente d'ailleurs actuellement sa collection unique d'autochromes dans le cadre de l'exposition Infinitivement Indes.
Nous avons aussi suivi le parcours de lumière imaginé par Marianne Piquet, qui nous promena dans le parc à la tombée de la nuit, nous incitant à faire halte à cinq stations.
Et puis, chaises, transats et plaids nous ont accueillis pour suivre le film Amerrika dont je rendrai compte demain.
Pour connaitre tous les horaires et le programme du Festival : Le Rex, 364 avenue de la Division-Leclerc, 92290 Châtenay-Malabry - Renseignements : 01.40.83.19.81 Site du Rex : http://cinema.lerex.free.fr/
L'écrivain a ramené de ses voyages des arbres extraordinaires qu'il plantait pour les générations futures et nous pouvions savourer ce bonheur d'être là, et qui plus en qualité d' "invités" (la soirée d'ouverture était gratuite sur réservation dans la limite des places disponibles). Impossible de trouver un écrin plus grandiose à ce festival de cinéma associant les paysages à la toile.
Frédérique Bruyas nous a lu des récits de voyages de Chateaubriand dans lesquels il compare le paysagiste à une femme qui ferait de la dentelle.
Il y eut bien entendu les discours officiels de circonstance. Nous avons appris combien le concept de Vallée de la culture s'incarnait sur trois pôles, dont le premier est à Châtenay avec la Vallée aux loups, (avec le parc de Sceaux et les jardins du musée Albert Kahn). Cette année le pays à l'honneur du festival est l'Inde. Un pays avec lequel le département entretient des relations régulières depuis qu'Albert Kahn a reçu Rabindranath Tagore, prix Nobel de littérature en 1913. Le Musée Albert-Kahn présente d'ailleurs actuellement sa collection unique d'autochromes dans le cadre de l'exposition Infinitivement Indes.
Nous avons aussi suivi le parcours de lumière imaginé par Marianne Piquet, qui nous promena dans le parc à la tombée de la nuit, nous incitant à faire halte à cinq stations.
Et puis, chaises, transats et plaids nous ont accueillis pour suivre le film Amerrika dont je rendrai compte demain.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire