Je n’ose vous dire depuis combien de jours ces bananes me faisaient de l’œil dans le réfrigérateur. J’avais interdit qu’on les jette parce que je voulais démontrer que même noires-noires (comme aurait dit Muriel Robin) elles restaient tout à fait consommables.
Bien sûr, je les ai goûtées avant de les écraser pour en faire la base d’un gâteau.
Je n’en étais pas à ma première tentative de Banana Bread. J’en ai même une sans gluten. Mais je voulais en faire une version simplifiée. J’aime bien celle-ci, très anglaise, qui se réalise avec de la farine d’épeautre, des noix de pécan et des graines de pavot.
Finalement j’ai opté pour un peu moins de beurre, (100 au lieu de 125), moins de farine aussi (160 au lieu de 280, mais en ajoutant 70 grammes de poudre d’amande) et un peu plus de sucre (150 grammes mais en prenant du sucre blanc et non de la cassonade).
Voici les proportions recommandées :
200 g de bananes mûres (environ 1,5 banane)
100 g de beurre
150 g de cassonade (la prochaine fois je descendrai à 100)
2 œufs (ça ne bouge jamais d’une cette à une autre)
160 g de farine + 70 de poudre d’amandes, ou de noisettes hachées, ou de noix (il me semble que la combinaison farine/amande pourrait s’équilibrer à 200 en tout, par contre si on opte pour les noix on garde la quantité de farine préconisée)
1 sachet de levure chimique
Deux cuillères à soupe de rhum ambré (j’ai pris du cognac mais le rhum est préférable)
Cyril Lignac en propose une version plus élaborée, plus gourmande mais nettement plus calorique. C’est assez drôle de voir ces chefs chipoter un grammage de beurre ou de sucre et ne pas hésiter à ajouter un caramel ou un glaçage, lequel est toujours fait à base de sucre glace (dont le pouvoir sucrant est très élevé).
Bref libre à vous de cuire la préparation sur un lit de bananes (ce qui portera à 5 le nombre de fruits nécessaires à la réalisation de la recette) coupées en deux, posées dans le fond du moule et recouvertes d’un caramel au beurre salé.
Dans ce cas je vous donne les proportions à respecter : 100 grammes de sucre, puis 50 grammes de crème liquide entière (attention aux projections brûlantes) et pour finir 15 grammes de beurre et 2 g de fleur de sel.
Je trouve que la version sobre que j’ai adoptée est tout à fait suffisante pour se régaler. Si besoin on titillera les papilles avec un filet de sirop d’érable. Une autre fois je me risquerai à une autre modification en utilisant un œuf entier et un jaune et en incorporant à la fin le second blanc battu en neige. Bien entendu je descendrai à 100 grammes de sucre et à 200 de farine/poudre d’amande.
Finalement j’ai opté pour un peu moins de beurre, (100 au lieu de 125), moins de farine aussi (160 au lieu de 280, mais en ajoutant 70 grammes de poudre d’amande) et un peu plus de sucre (150 grammes mais en prenant du sucre blanc et non de la cassonade).
Voici les proportions recommandées :
200 g de bananes mûres (environ 1,5 banane)
100 g de beurre
150 g de cassonade (la prochaine fois je descendrai à 100)
2 œufs (ça ne bouge jamais d’une cette à une autre)
160 g de farine + 70 de poudre d’amandes, ou de noisettes hachées, ou de noix (il me semble que la combinaison farine/amande pourrait s’équilibrer à 200 en tout, par contre si on opte pour les noix on garde la quantité de farine préconisée)
1 sachet de levure chimique
Deux cuillères à soupe de rhum ambré (j’ai pris du cognac mais le rhum est préférable)
Cyril Lignac en propose une version plus élaborée, plus gourmande mais nettement plus calorique. C’est assez drôle de voir ces chefs chipoter un grammage de beurre ou de sucre et ne pas hésiter à ajouter un caramel ou un glaçage, lequel est toujours fait à base de sucre glace (dont le pouvoir sucrant est très élevé).
Bref libre à vous de cuire la préparation sur un lit de bananes (ce qui portera à 5 le nombre de fruits nécessaires à la réalisation de la recette) coupées en deux, posées dans le fond du moule et recouvertes d’un caramel au beurre salé.
Dans ce cas je vous donne les proportions à respecter : 100 grammes de sucre, puis 50 grammes de crème liquide entière (attention aux projections brûlantes) et pour finir 15 grammes de beurre et 2 g de fleur de sel.
Je trouve que la version sobre que j’ai adoptée est tout à fait suffisante pour se régaler. Si besoin on titillera les papilles avec un filet de sirop d’érable. Une autre fois je me risquerai à une autre modification en utilisant un œuf entier et un jaune et en incorporant à la fin le second blanc battu en neige. Bien entendu je descendrai à 100 grammes de sucre et à 200 de farine/poudre d’amande.
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