Je ne me moque pas du tout même si c'est avec un certain humour que j'ai décidé de publier cette recette qui m'a été inspirée par la lecture de Baïkonour parce que la mère de l'héroïne ne cesse d'en faire des litres.
A force d'écrire alternativement culinaire et culturel ça donne des réflexes.
Cette recette est totalement inscrite dans la décroissance, et je partage mes astuces en ce domaine. Une partie des légumes provient de Too good to go (plusieurs paniers différents acquis en plusieurs endroits) :
1 oignon (avec un clou de girofle du placard, là j'avoue) 2 pommes de terre, 4 carottes (minables), un morceau de chou blanc, 4 feuilles de chou kale, 2 champignons, un bout de tige de céleri, un blanc de poireau, une demi-tomate, une feuille de laurier (qui séchait à la cave depuis je ne sais combien de mois), et puis beaucoup d'eau.
Une fois tous les légumes cuits, je mets de coté le blanc de poireau pour le manger ultérieurement en vinaigrette.
Je prélève aussi quelques légumes qui seront servis le lendemain en accompagnement d'une viande ou d'un poisson. Et je commence "les" soupes, car j'aime varier les présentations.
Je conserve un tiers des légumes avec une partie de l'eau de cuisson. Je mixe le restant. J'ajoute une branchette de basilic du jardin partagé. Je remixe. Je verse dans une très grande tasse. Je découpe une feuille d'oseille (elle donnera un jus acide) sur le dessus. Je poivre et sale.
Je déguste ... et je peux reprendre ma lecture du livre d'Odile d’Oultremont paru comme le premier , Les Déraisons, aux Éditions de l’Observatoire.
A force d'écrire alternativement culinaire et culturel ça donne des réflexes.
Cette recette est totalement inscrite dans la décroissance, et je partage mes astuces en ce domaine. Une partie des légumes provient de Too good to go (plusieurs paniers différents acquis en plusieurs endroits) :
1 oignon (avec un clou de girofle du placard, là j'avoue) 2 pommes de terre, 4 carottes (minables), un morceau de chou blanc, 4 feuilles de chou kale, 2 champignons, un bout de tige de céleri, un blanc de poireau, une demi-tomate, une feuille de laurier (qui séchait à la cave depuis je ne sais combien de mois), et puis beaucoup d'eau.
Une fois tous les légumes cuits, je mets de coté le blanc de poireau pour le manger ultérieurement en vinaigrette.
Je prélève aussi quelques légumes qui seront servis le lendemain en accompagnement d'une viande ou d'un poisson. Et je commence "les" soupes, car j'aime varier les présentations.
Je conserve un tiers des légumes avec une partie de l'eau de cuisson. Je mixe le restant. J'ajoute une branchette de basilic du jardin partagé. Je remixe. Je verse dans une très grande tasse. Je découpe une feuille d'oseille (elle donnera un jus acide) sur le dessus. Je poivre et sale.
Je déguste ... et je peux reprendre ma lecture du livre d'Odile d’Oultremont paru comme le premier , Les Déraisons, aux Éditions de l’Observatoire.
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