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samedi 4 avril 2020

Orge céleste

Après le petit épeautre, voilà que je retrouve de l'orge céleste de Mon fournil, un nom qui fait rêver, même si je dois reconnaître que ces graines là ne sont pas de la première fraîcheur.
Je les ai donc fait tremper plus de 24 heures en évacuant régulièrement le dessus de l’eau de surface jusqu’à ce qu’elle soit plutôt claire.

Après avoir procédé à un ultime rinçage, j’ai placé cette orge (on peut aussi bien la désigner au féminin comme au masculin) dans une cocotte à fond épais et l'ai recouverte de deux fois son volume d’eau claire.

J’ai ajouté un bouillon cube de bœuf (prélevé sur le stock de ma maman), deux petits piments ronds que j’ai placés -de manière à pouvoir les récupérer- dans une boule à thé, une feuille de laurier, et une cuillerée de gros sel de mer non raffiné. 

J’insiste que la cuisson doit démarrer à l’eau froide. J’ai remué plusieurs fois au cours d’une quinzaine de minutes de cuisson à petits bouillons. Puis j’ai laissé gonfler les graines sous le couvercle.
A souligner qu’il est possible de consommer séparément les graines, et le bouillon de cuisson une fois l'orge égouttée et les piments retirés.
Je vais varier les consommations : nature, avec un petit morceau de beurre ou un filet d’huile, saupoudré de fines herbes récupérées dans le réfrigérateur notamment de l’estragon (je n’y aurais jamais pensé auparavant), avec quelques lamelles de cheddar Estonien tranchée à l’épluche légumes.
Aussi bon froid en salade, que chaud avec d'autres légumes pour compléter, comme des carottes.

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