Malgré l'immense renommée de nombreux chocolatiers et confiseurs nancéens je demeure fidèle à Alain Batt, 40 rue Saint-Georges. Je ne résiste pas à ces gourmandises. Et même s'il y a toujours beaucoup de choix je peux avoir envie d'un parfum qui n'est pas dans la vitrine. Justement, aujourd'hui je voudrais du nougat au chocolat pour ramener à ma fille.
La vendeuse m'envoie à la pâtisserie distante de quelques mètres où je peux faire mon achat. En repassant devant la vitrine, je me dis que ce serait gentil de l'informer qu'effectivement la variété au chocolat y est disponible. Elle est en train d'encaisser une cliente. Je patiente avec mon petit sac au bout du bras. Elle offre un chocolat à cette dame qui ne lui avait rien demandé et prestement remise le plateau de douceurs derrière le comptoir, se tourne vers moi et me demande ce que je veux.
Son indélicatesse me souffle et je lui dis posément ma façon de penser. Rouge de confusion, elle s'inquiète : vous vouliez un chocolat ?
Non, merci. Je ne veux rien, mais alors rien du tout !
J'étais pas revenue pour et je ne suis pas prête de recommencer d'ailleurs. Quand on vient de dépenser presque la moitié d'une centaine d'euros on s'attend à un soupçon de considération.
A sa décharge je dirais qu'elle n'a pas cherché à "acheter" mes félicitations car je ne lui avais pas caché que j'allais écrire un article sur la maison. J'avais pris des photos avec son accord.
Comme quoi l'amabilité (que je louais avant-hier dans l'article du 5 mai) n'est pas l'apanage de tous les commerçants nancéens. Le sens commercial n'est sans doute pas inné mais il doit bien exister des stages de remise à niveau pour cela. Malgré son âge, qui évoque l'expérience, cette vendeuse devrait pouvoir bénéficier d'une priorité ...
La vendeuse m'envoie à la pâtisserie distante de quelques mètres où je peux faire mon achat. En repassant devant la vitrine, je me dis que ce serait gentil de l'informer qu'effectivement la variété au chocolat y est disponible. Elle est en train d'encaisser une cliente. Je patiente avec mon petit sac au bout du bras. Elle offre un chocolat à cette dame qui ne lui avait rien demandé et prestement remise le plateau de douceurs derrière le comptoir, se tourne vers moi et me demande ce que je veux.
Son indélicatesse me souffle et je lui dis posément ma façon de penser. Rouge de confusion, elle s'inquiète : vous vouliez un chocolat ?
Non, merci. Je ne veux rien, mais alors rien du tout !
J'étais pas revenue pour et je ne suis pas prête de recommencer d'ailleurs. Quand on vient de dépenser presque la moitié d'une centaine d'euros on s'attend à un soupçon de considération.
A sa décharge je dirais qu'elle n'a pas cherché à "acheter" mes félicitations car je ne lui avais pas caché que j'allais écrire un article sur la maison. J'avais pris des photos avec son accord.
Comme quoi l'amabilité (que je louais avant-hier dans l'article du 5 mai) n'est pas l'apanage de tous les commerçants nancéens. Le sens commercial n'est sans doute pas inné mais il doit bien exister des stages de remise à niveau pour cela. Malgré son âge, qui évoque l'expérience, cette vendeuse devrait pouvoir bénéficier d'une priorité ...
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