Je vous ai présenté Epernay sous ses Habits de Lumière, et sous ses Habits de Saveurs. Nous avons aussi visité ensemble une cave prestigieuse.
Aujourd'hui je voudrais vous montrer l'envers du décor, ou plutôt l'endroit tel qu'il est 362 jours par an, et ce n'est pas mal non plus, même si c'est radicalement différent. L'Avenue de Champagne, puisque c'est d'elle qu'il s'agit est belle sous toutes les lumières, celles du jour comme celles de la nuit.
Idéalement située sur la route royale reliant Paris à l'Allemagne, elle s’est développée quand le commerce des vins s’est spécialisé. Rebaptisée alternativement "Faubourg du commerce", ou "Faubourg de la Folie", sous Louis XV (probablement en raison de la présence de riches propriétés), sa renommée commence véritablement au XVIIIe siècle en devenant "la voie royale" qui conduit de Paris à l'Allemagne.
C'est en quelque sorte la première ZI (zone industrielle) aux abords d'une ville. Si on s'y promène le week-end on ne s'en rend pas compte mais c'est toujours un lieu très actif.
On remarquera d'ailleurs les quais de débarquement conçus pour les camions chez Pol Roger. Et je n'ose imaginer le ballet en période de vendanges. La brique industrielle jaune est clairement apparente. On a perdu un pan du U caractéristique de la fin du siècle dernier mais l'influence art déco demeure au fronton, avec les masques et les motifs géométriques.Tous les bâtiments ne présentent pas la même valeur patrimoniale mais chacun a son intérêt architectural et leur diversité fait l'intérêt de la promenade.
Les plus grandes Maisons de Champagne se sont développées ici et ont fait apparaître les grandes demeures champenoises des négociants. Les "Châteaux " Perrier, Gérard, Pékin qui allient l'aspect familial et le commerce des vins de Champagne sont ainsi les témoins de l'époque. Les hôtels particuliers des Maisons Auban-Moët, Chandon, Maigret, Gallice, de Billy ou Mercier sont toutes prestigieuses, autant dans leur agencement intérieur que dans leur l'environnement.
On remarquera d'ailleurs les quais de débarquement conçus pour les camions chez Pol Roger. Et je n'ose imaginer le ballet en période de vendanges. La brique industrielle jaune est clairement apparente. On a perdu un pan du U caractéristique de la fin du siècle dernier mais l'influence art déco demeure au fronton, avec les masques et les motifs géométriques.Tous les bâtiments ne présentent pas la même valeur patrimoniale mais chacun a son intérêt architectural et leur diversité fait l'intérêt de la promenade.
Les plus grandes Maisons de Champagne se sont développées ici et ont fait apparaître les grandes demeures champenoises des négociants. Les "Châteaux " Perrier, Gérard, Pékin qui allient l'aspect familial et le commerce des vins de Champagne sont ainsi les témoins de l'époque. Les hôtels particuliers des Maisons Auban-Moët, Chandon, Maigret, Gallice, de Billy ou Mercier sont toutes prestigieuses, autant dans leur agencement intérieur que dans leur l'environnement.
Si bien qu'autrefois simple lieu de passage, l'Avenue de Champagne est aujourd'hui le siège des plus grandes Maisons de Champagne au monde (Moët & Chandon, Mercier, Boizel, Comtesse Lafond, De Castellane, Esterlin, Perrier-Jouët, Pol Roger, De Venoge, Demoiselle...) rejointes par quelques nouveaux noms comme A. Bergère au numéro 38.
Car, à quelques exceptions, les maisons les plus anciennes se trouvent du côté droit parce que la présence en contrebas, à gauche, du lit de la Marne (qui fut ultérieurement détournée de quelques mètres pour laisser place au chemin de fer) empêchait de creuser. En inaugurant le 2 septembre 1849, le tronçon "Paris-Epernay" de la ligne ferroviaire de l'Est le commerce du champagne a connu de nouvelles perspectives de développement. En 1925, l'essor est tel que l'ancienne rue du commerce est re-baptisée, cette fois définitivement "Avenue de Champagne".
On peut aussi estimer qu'on a le coté résidentiel avec ses châteaux ou hôtels particuliers au coeur d'un parc ou entre cour et jardin en U (sur la gauche) face au coté industriel (sur la droite).
Mais on y voit aussi des maisons particulières (comme celui qui est photographiée ci-dessus, en haut de l'article), et même quelques immeubles d'habitation plus ou moins heureux au plan architectural et sur lesquels par contre je ne vais pas m'attarder.
Le contraste le plus frappant est celui d'un même bâtiment, un des plus récemment construit, ici Demoiselle, vu le jour et puis la nuit :
Car, à quelques exceptions, les maisons les plus anciennes se trouvent du côté droit parce que la présence en contrebas, à gauche, du lit de la Marne (qui fut ultérieurement détournée de quelques mètres pour laisser place au chemin de fer) empêchait de creuser. En inaugurant le 2 septembre 1849, le tronçon "Paris-Epernay" de la ligne ferroviaire de l'Est le commerce du champagne a connu de nouvelles perspectives de développement. En 1925, l'essor est tel que l'ancienne rue du commerce est re-baptisée, cette fois définitivement "Avenue de Champagne".
On peut aussi estimer qu'on a le coté résidentiel avec ses châteaux ou hôtels particuliers au coeur d'un parc ou entre cour et jardin en U (sur la gauche) face au coté industriel (sur la droite).
Mais on y voit aussi des maisons particulières (comme celui qui est photographiée ci-dessus, en haut de l'article), et même quelques immeubles d'habitation plus ou moins heureux au plan architectural et sur lesquels par contre je ne vais pas m'attarder.
Le contraste le plus frappant est celui d'un même bâtiment, un des plus récemment construit, ici Demoiselle, vu le jour et puis la nuit :
Il suffit, comme partout, de laisser pendre de simples guirlandes pour embellir une fenêtre. Elles sont le plus souvent entourées de briques pour donner un peu d'animation aux façades en les soulignant de rouge.
Les trottoirs, récemment refaits, sont constellés d'inclusions rondes comme des bulles ... de champagne. Ils sont très larges, doublés de pistes cyclables.
Contraste toujours entre la nuit et le jour. On reconnait à peine l'hôtel de ville ainsi "maquillé".
C'est l'ancienne demeure de la famille Moët. Edifié en 1858 par le négociant Monsieur Auban, lequel épousa Madame Moët. Le voici photographié depuis l'avenue de Champagne, sur sa façade arrière, l'entrée principale étant à l'époque tournée vers la ligne de chemin de fer, en contrebas.
Le monument aux morts compte presque un millier de sparnaciens pour la seule première guerre mondiale.
Le style du monument, néoclassique, est plutôt sobre mais on dit que ses salons sont très chaleureux. Et du jardin le regard capte des vues insolites sur d'autres bâtiments.
Changement radical quelques mètres plus haut. La lucarne en fond de cour de Perrier-Jouët porte la mention de 1811 au-dessus de la cloche.
C'est l'ancienne demeure de la famille Moët. Edifié en 1858 par le négociant Monsieur Auban, lequel épousa Madame Moët. Le voici photographié depuis l'avenue de Champagne, sur sa façade arrière, l'entrée principale étant à l'époque tournée vers la ligne de chemin de fer, en contrebas.
Le monument aux morts compte presque un millier de sparnaciens pour la seule première guerre mondiale.
Le style du monument, néoclassique, est plutôt sobre mais on dit que ses salons sont très chaleureux. Et du jardin le regard capte des vues insolites sur d'autres bâtiments.
Changement radical quelques mètres plus haut. La lucarne en fond de cour de Perrier-Jouët porte la mention de 1811 au-dessus de la cloche.
On remarque davantage en plein jour que les grandes maisons disposent de plusieurs bâtiments, de facture parfois très différentes avec une ornementation parfois chargée.
Ce sont ici des sphynges, là une statue équestre un peu lourde, évoquant la passion du propriétaire pour la chasse à courre, à ce qu'il m'a été dit, si ce n'est la référence aux places royales codifiées depuis Henri IV. car n'oublions pas que chaque bâtiment avait pour objectif d'attirer l'oeil et de démontrer sa puissance.
Ce sont ici des sphynges, là une statue équestre un peu lourde, évoquant la passion du propriétaire pour la chasse à courre, à ce qu'il m'a été dit, si ce n'est la référence aux places royales codifiées depuis Henri IV. car n'oublions pas que chaque bâtiment avait pour objectif d'attirer l'oeil et de démontrer sa puissance.
Nous sommes dans la cour du château Perrier, au numéro 13, construit dans un style néo Louis XIII. Il fut aussi une bibliothèque, un musée archéologique (le second en terme d'intérêt après celui de Saint-Germain-en-Laye) et un nouveau projet est en cours pour permettre de l'ouvrir au public.
Quel que soit l'angle par lequel on aborde ce "château" il surprend par ses mesures, évoquant Fontainebleau.
De l'autre coté la sobriété contraste avec des bâtiments fin XVIII°, autour d'une cour pavée, en U, aussi beaux cette fois de jour comme de nuit.
Il faut voir de près l’Arbre de Dégustation dessiné et sculpté par le designer néerlandais Tord Boontje, pour Perrier-Jouët au printemps dernier et qui occupe la cour voisine en version gigantesque. Je vous avais montré, dans le billet de vendredi consacré à a parade lumineuse, la version "salon" que l'artiste avait façonné en s'inspirant des anémones dessinées par Emile Gallé.
Ici, en plein air, sa réalisation est encore plus étonnante. Et l'envie est forte d'aller se servir une coupe, non ? Quand je dis coupe je devrais préciser flute mais vous aurez compris ...
Quel que soit l'angle par lequel on aborde ce "château" il surprend par ses mesures, évoquant Fontainebleau.
De l'autre coté la sobriété contraste avec des bâtiments fin XVIII°, autour d'une cour pavée, en U, aussi beaux cette fois de jour comme de nuit.
Il faut voir de près l’Arbre de Dégustation dessiné et sculpté par le designer néerlandais Tord Boontje, pour Perrier-Jouët au printemps dernier et qui occupe la cour voisine en version gigantesque. Je vous avais montré, dans le billet de vendredi consacré à a parade lumineuse, la version "salon" que l'artiste avait façonné en s'inspirant des anémones dessinées par Emile Gallé.
Ici, en plein air, sa réalisation est encore plus étonnante. Et l'envie est forte d'aller se servir une coupe, non ? Quand je dis coupe je devrais préciser flute mais vous aurez compris ...
Le contraste est peut-être moins puissant chez De Castellane car on reconnait la tour entre toutes.
Il est particulièrement marqué entre les bâtiments Moët & Chandon, aussi saisissant de jour que de nuit, tant ils sont différents.
Ce n'est pas la plus ancienne maison de champagne créé à Epernay. C'est Ruinart en 1729, mais elle s'expatria sur Reims pour bénéficier de caves existantes, dans des crayères gallo-romaines qui n'étaient plus utilisées.
Ainsi qu'en atteste l'inscription au-dessus du grand bâtiment rectiligne du 20 avenue de Champagne, Claude Moët fut par contre le premier à oser faire creuser des caves en 1743 dans l'immense terrain vague crayeux qui s'étendait aux abords de la ville. Car à Epernay toutes les caves ont été creusées par l'homme. Et avec un parc de 110 kilomètres de caves situé sous l'Avenue et plus de 200 millions de bouteilles au reflet d'or, on la surnomme aussi "l'avenue la plus riche du monde". Elle accueille plus de 400 000 visiteurs chaque année.
L'immeuble que l'on voit aujourd'hui, ci-dessous à droite, a été détruit pendant la Première Guerre. il a été reconstruit en briques jaunes dans les années 1920, avec un toit terrasse typiquement art déco.
Subsiste juste à coté, et le contraste est frappant, la statue du moine Dom Pérignon à qui on doit l'amélioration de l'effervescence qui valut à ce vin d'être servi aux festins honorant les sacres royaux ... à Reims, expliquant ainsi comment de vin des rois le champagne est devenu le roi des vins.
De nombreux bâtiments portent la marque Moët & Chandon. Celui ci, bâti pour Jean-Remy Moët en 1793, est ornée d'une galerie où Napoléon 1er aimait s'y promener pour bénéficier de la vue sur les vignobles de la cuvée prestige, dite désormais Cuvée Impériale. Ce fut peut-être la première célébrité à s'être déplacée avenue de Champagne en 1807.
Des agrandissements se construisent de part et d'autre de l'Avenue, mais en préservant toujours l'horizon sur les coteaux. Une orangerie (ci-dessous) est adjointe en 1807 à l'instar de ce celle du Petit Trianon de Versailles.
Ainsi qu'en atteste l'inscription au-dessus du grand bâtiment rectiligne du 20 avenue de Champagne, Claude Moët fut par contre le premier à oser faire creuser des caves en 1743 dans l'immense terrain vague crayeux qui s'étendait aux abords de la ville. Car à Epernay toutes les caves ont été creusées par l'homme. Et avec un parc de 110 kilomètres de caves situé sous l'Avenue et plus de 200 millions de bouteilles au reflet d'or, on la surnomme aussi "l'avenue la plus riche du monde". Elle accueille plus de 400 000 visiteurs chaque année.
L'immeuble que l'on voit aujourd'hui, ci-dessous à droite, a été détruit pendant la Première Guerre. il a été reconstruit en briques jaunes dans les années 1920, avec un toit terrasse typiquement art déco.
Subsiste juste à coté, et le contraste est frappant, la statue du moine Dom Pérignon à qui on doit l'amélioration de l'effervescence qui valut à ce vin d'être servi aux festins honorant les sacres royaux ... à Reims, expliquant ainsi comment de vin des rois le champagne est devenu le roi des vins.
De nombreux bâtiments portent la marque Moët & Chandon. Celui ci, bâti pour Jean-Remy Moët en 1793, est ornée d'une galerie où Napoléon 1er aimait s'y promener pour bénéficier de la vue sur les vignobles de la cuvée prestige, dite désormais Cuvée Impériale. Ce fut peut-être la première célébrité à s'être déplacée avenue de Champagne en 1807.
Des agrandissements se construisent de part et d'autre de l'Avenue, mais en préservant toujours l'horizon sur les coteaux. Une orangerie (ci-dessous) est adjointe en 1807 à l'instar de ce celle du Petit Trianon de Versailles.
Je ne cherche pas à être exhaustive. Pas davantage à établir un classement entre les bâtiments. Chacun a son charme et sa spécificité. Il en va d'eux comme des champagnes. Des goûts et des couleurs on ne discute pas. Sarah Bernhardt ne jurait que par De Venoge, Churchill préférait Pol Roger (à sa mort la maison fit border ses étiquettes de noir en signe de deuil) qui est toujours plébiscité sur la table de la famille royale d'Angleterre, Albert de Monaco adore Perier-Jouët et Marilyn Monroe ne buvait que Piper-Heidsieck ...
Je voudrais surtout vous donner l'envie d'aller sur place pour admirer ce patrimoine, lequel présente des aspects très variés, comme ce Collège de garçons, édifié au numéro 29, par Henri Picquart entre 1913 et 1923, orné de colonnes et de bas-reliefs faisant référence à l'Antiquité alors que l'ensemble se rapproche davantage d'une architecture industrielle, même si le bandeau de bois bleu et les céramiques assorties adoucissent la brique.
Je ne l'ai pas photographié une nouvelle fois mais il faut aussi regarder attentivement une villa de style "fin de siècle" ayant appartenue à Marcel Gallice, (1854-1930), négociant en vins de champagne et président de la maison de champagne Perrier-Jouët, au numéro 33. Elle fut achevée en 1899, et son architecte Charles Blondel a reçu le prix de Rome.
La Maison se caractérise par le haut des fenêtres en chapeau de gendarme. L’entrée est marquée par une marquise ainsi qu’un balcon de fer forgé porté par deux griffons cernant les initiales de Marcel Gallice. C'est pour quelques mois encore le siège de l'ORCCA, Office Régional Culturel de Champagne-Ardenne. Mais bientôt cette villa de style «fin de siècle» sera investie par le champagne de Venoge, installé au nº46 de l’avenue, dans les locaux du champagne Boizel.
Elle va donc revenir à sa vocation initiale. J'espère l'an prochain visiter son jardin à l'anglaise, son intérieur, sa cheminée de bois sculptée et surtout son escalier monumental éclairé d'un magnifique vitrail de Grüber, classé monument historique et réalisé en 1921 à la demande de Marcel Gallice et d'après un dessin de Charles Blondel, pour commémorer le martyre d'Epernay pendant la Grande Guerre.
J'imagine que sa mise en lumière sera fort différente en 2014 de ce que nous avons vu cette année.
Il ne faudrait d'ailleurs pas se limiter à cette Avenue. Le théâtre Gabrielle-Dorziat mérite lui aussi le détour, avec son plafond, où l'on remarquera une toile marouflée du peintre Georges Clairin, amant puis ami fidèle de Sarah Bernhardt. La fresque représente les différents arts que l'on pouvait trouver à l'époque au théâtre, comme la danse, la musique, l'opéra, la tragédie, le drame, et certains y reconnaissent le visage de l'actrice chère à son coeur.
Et dans le centre ville d'autres bâtiments ont aussi leur intérêt architectural. Comme celle-ci au 1 rue Gallice et quia retenu mon attention samedi en face du marché couvert.
Construite en 1900 par l'architecte sparnacien Henry Clouet elle est assez lourdement ouvragée dans un style qui hésite entre le néogothique et l'Art Nouveau. Ce bâtiment a été financé puis offert par un notaire à Léonie Pasquier en gage d'amour, ce qui n’empêchera pas la jeune femme d'épouser un autre homme quatre ans plus tard. Voilà pourquoi on l'appelle désormais la "Maison de la Lune"en référence à la manière dont elle a été acquise ...
En réaménageant l'Avenue de Champagne à partir de 2006, la Ville d'Epernay a fait de ce lieu, un endroit de promenade plus agréable pour les Sparnaciens (trottoirs plus larges, pistes cyclables…) aussi bien à l'occasion des fêtes spéciales que pour quelques heures grapillées dans son emploi du temps.
C'est aussi une marque qui commercialise des objets et des livres intéressants sur le patrimoine régionale et que l'on peut trouver à l'Office du tourisme, au numéro 7.
Ainsi ces bouchons de champagne dont la ganache est réalisée avec un sucre pétillant qui provoque en bouche une effervescence comparable à celle du vin. Et puis, bien sur les capsules que s'arracheront els placomusophiles, puisque c'est ainsi qu'on nomme les collectionneurs.
J'ajoute pour terminer une liste qui pourra être utile cette année ou une autre ... tout en rappelant que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, et qu'il faut consommer avec modération.
Visites et dégustations
Ce week-end festif est l'occasion de visiter les caves de l’avenue de Champagne et de découvrir les principaux secrets de la dégustation. Tarifs à la coupe variables selon les bars.
Liste des visites et dégustations de l'édition 2013 (je vous encourage à vous renseigner pour 2014 mais les changements seront probablement mineurs) classé dans le sens de la montée de l'Avenue :
Collard Picard
15, avenue de Champagne - 03 26 53 36 93
Vendredi, samedi et dimanche de 10 à 18 heures
Boutique ouverte avec dégustations et projection d'un film
Pol Roger
34, avenue de Champagne - 03 26 59 58 00
Samedi de 13 h 30 à 16 h 30
Visites des caves et dégustations
A. Bergère
38, avenue de Champagne - 03 26 32 07 19
Vendredi, samedi et dimanche de 10 h 30 à 12 h puis de 14 à 18 h
Boutique ouverte, dégustations, visites et projection d'un film
Paul-Etienne Saint Germain
51, avenue de Champagne - 03 26 32 31 12
Samedi de 11 h à 18 h et dimanche de 11 à 16 h 30
Boutique ouverte et dégustations
De Castellane
63, avenue de Champagne - 03 26 51 19 11
Vendredi, samedi et dimanche de 10 h à 12 h puis de 14 à 18 h
Visites des caves et dégustations spéciales Habits de Lumière
Mercier
68, avenue de Champagne - 03 26 51 22 22
Vendredi, samedi et dimanche de 9 h 30 à 11 h 30 puis de 14 à 16 h 30
Visites des caves et dégustations, réservation nécessaire à partir de 10 personnes
Comtesse Lafond
79, avenue de Champagne - 03 26 32 26 40
Samedi de 14 h à 17 h 30, et dimanche de 10 h à 12 h puis de 14 à 17 h 30
Dégustations spéciales Habits de Lumière
Tous les articles :
Habits de Lumière : Parade et illuminations sur l'Avenue de Champagne d'Epernay
Habits de saveurs à travers des démonstrations-dégustations ouvertes au grand public
L'Avenue de Champagne, jour et nuit
Parade automobile à Epernay dans le cadre des Habits de Lumière 2013Habits de saveurs à travers des démonstrations-dégustations ouvertes au grand public
L'Avenue de Champagne, jour et nuit
La visite des caves Mercier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire