Après L'Auberge Espagnole et Les Poupées russes Cédric Klapisch s'attaque pour la première fois à la réalité économique et sociale.
Avec Ma part du gâteau, dont il a écrit seul le scénario le réalisateur a imaginé la rencontre entre deux personnages diamétralement opposés sur le plan de l'échelle sociale. Lui c'est Steve (Gilles Lellouche) qui évolue comme un poisson dans l'eau dans le monde de la finance. Elle c'est France (Karin Viard) qui se prend de plein fouet l'orage d'un licenciement économique bricolé de toutes pièces par un trader sans scrupules, lui, précisément.
Cédric Klapisch a écrit seul le scénario après avoir mené des investigations sur le sujet tandis que les acteurs plongeait dans les univers diamétralement opposés de leurs personnages.
Le résultat est une comédie qui fait place au rire, même dans les situations tragiques. "Rire de tout cela ne supprime la dénonciation, mais au contraire l'accentue", déclare le cinéaste, qui rapproche sa démarche de celles de Chaplin et Molière. Il a voulu présenter la femme comme une sorte d'anti-Pretty Woman en démontrant qu'il ne faut pas s'attendre à trouver le prince charmant au coin de la rue mais qu'il faut tout mettre en œuvre pour s'en sortir par soi-même et sans compter sur les autres.
Le réalisateur brouille d'ailleurs habilement les cartes en insérant la musique du célèbre film américain dans une scène.
Zinedine Soualem (habitué des films de Klapisch) est Ahmed, ami serviable et patient, à l'origine de l'embauche de Karin Viard en tant que femme de ménage.
Le propos du film va bien au-delà d'une opposition entre riches et pauvres. Ce sont deux mondes et deux modes de pensée qui entrent en collision. La comédie est dramatique et la fin heureuse n'aura pas lieu ... comme dans la vraie vie, souvent, et comme au cinéma, parfois, à l'instar de films de Ken Loach.
Avec Ma part du gâteau, dont il a écrit seul le scénario le réalisateur a imaginé la rencontre entre deux personnages diamétralement opposés sur le plan de l'échelle sociale. Lui c'est Steve (Gilles Lellouche) qui évolue comme un poisson dans l'eau dans le monde de la finance. Elle c'est France (Karin Viard) qui se prend de plein fouet l'orage d'un licenciement économique bricolé de toutes pièces par un trader sans scrupules, lui, précisément.
Cédric Klapisch a écrit seul le scénario après avoir mené des investigations sur le sujet tandis que les acteurs plongeait dans les univers diamétralement opposés de leurs personnages.
Le résultat est une comédie qui fait place au rire, même dans les situations tragiques. "Rire de tout cela ne supprime la dénonciation, mais au contraire l'accentue", déclare le cinéaste, qui rapproche sa démarche de celles de Chaplin et Molière. Il a voulu présenter la femme comme une sorte d'anti-Pretty Woman en démontrant qu'il ne faut pas s'attendre à trouver le prince charmant au coin de la rue mais qu'il faut tout mettre en œuvre pour s'en sortir par soi-même et sans compter sur les autres.
Le réalisateur brouille d'ailleurs habilement les cartes en insérant la musique du célèbre film américain dans une scène.
Zinedine Soualem (habitué des films de Klapisch) est Ahmed, ami serviable et patient, à l'origine de l'embauche de Karin Viard en tant que femme de ménage.
Le propos du film va bien au-delà d'une opposition entre riches et pauvres. Ce sont deux mondes et deux modes de pensée qui entrent en collision. La comédie est dramatique et la fin heureuse n'aura pas lieu ... comme dans la vraie vie, souvent, et comme au cinéma, parfois, à l'instar de films de Ken Loach.
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