L’intrigue est intelligemment construite mais certaines ficelles sont loin d’être transparentes. Les fausses pistes sont clairement prévisibles et je ne peux pas dire que j’ai été angoissée par un climat de menace grandissante car il est évident que tout finira bien.
Je l'avais lu très vite en janvier. Je n'avais alors pas mis le billet sur le blog car ce n'est pas un livre majeur mais ayant décidé d'être exhaustive sur l'ensemble de la sélection ELLE, j'ai décidé d'ajouter ces quelques lignes.
Reste que les personnages féminins sont réellement attachants. Lisa Gardner les dote de belles qualités. Annabelle, Catherine, DD, la mère de Dori (et même Flora …) sont des êtres forts, généreux, intelligents, ce qui n’est pas si fréquent en littérature policière.
Les hommes occupent le vaste territoire de la lâcheté, de la vanité, du sadisme, de la trahison ou de l’impuissance, à l’exception de Bobby Dodge, le jeune policier qui se voit offrir l’occasion de faire oublier une faute professionnelle antérieure.
Au final j’ai trouvé cette lecture « aisée » si tant est qu’on puisse ainsi qualifier un roman policier. Une facilité qui fait sans doute le succès de l’auteur aux USA et en GB.
J’espérais plus de suspense, davantage de doutes, des décors qui dépassent la simple citation. Bref, si le squelette est là, bien charpenté, il manque de chair. Un avis que Zarline , le Bookomaton , Armande et Snowball semblent partager. Par contre Flora a aimé davantage.
Sauver sa peau de Lisa Gardner, chez Albin Michel
Je l'avais lu très vite en janvier. Je n'avais alors pas mis le billet sur le blog car ce n'est pas un livre majeur mais ayant décidé d'être exhaustive sur l'ensemble de la sélection ELLE, j'ai décidé d'ajouter ces quelques lignes.
Reste que les personnages féminins sont réellement attachants. Lisa Gardner les dote de belles qualités. Annabelle, Catherine, DD, la mère de Dori (et même Flora …) sont des êtres forts, généreux, intelligents, ce qui n’est pas si fréquent en littérature policière.
Les hommes occupent le vaste territoire de la lâcheté, de la vanité, du sadisme, de la trahison ou de l’impuissance, à l’exception de Bobby Dodge, le jeune policier qui se voit offrir l’occasion de faire oublier une faute professionnelle antérieure.
Au final j’ai trouvé cette lecture « aisée » si tant est qu’on puisse ainsi qualifier un roman policier. Une facilité qui fait sans doute le succès de l’auteur aux USA et en GB.
J’espérais plus de suspense, davantage de doutes, des décors qui dépassent la simple citation. Bref, si le squelette est là, bien charpenté, il manque de chair. Un avis que Zarline , le Bookomaton , Armande et Snowball semblent partager. Par contre Flora a aimé davantage.
Sauver sa peau de Lisa Gardner, chez Albin Michel
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