Quand Francine m'a proposé de tester de nouveaux Inratables et sachant qu'il s'agissait d'un des desserts les plus en vogue, juste derrière les macarons, j'ai aussitôt accepté. Le plus difficile fut de décider si j'allais commencer par la boite chocolat ou par le parfum vanille.
Beaucoup de bons points à attribuer à la formule. D'adorables petits moules de papier colorés. La simplicité de la manœuvre, et sa rapidité. Le temps du préchauffage du four correspond pile poil à celui qu'il me fallut pour terminer la préparation. C'est la première fois que je parviens à enfourner au moment où le thermostat affiche la bonne température. D'habitude je n'ai jamais fini de touiller et le four tourne à vide, et je suis culpabilisée de gâcher de l'énergie.
La seule difficulté est tout de même de remplir les moules aux deux-tiers en ne perdant rien. Je me dis qu'il faudrait un mini entonnoir, comme celui qui a été conçu pour remplir les verrines sans salir les parois de verre. J'ai tout de même trouvé un truc qui va rester top secret, faute d'avoir un camescope pour filmer la démo. Ce n'est presque pas explicable. Il faut prendre la cuillère en bois qui vous a servi pour mélanger la poudre, la remplir, et la tourner deux fois puis la déplacer au-dessus du moule, l'incliner et laisser couler. Théoriquement la manœuvre est alors un jeu d'enfant.
Petite inquiétude : y aura-t-il assez de pâte pour remplir les 12 moules ? Finalement un peu trop puisque je sors in extremis un moule a cannelé.
Auparavant on a juste eu à mélanger une poudre chocolaté qui fait penser à celle d'un petit-déjeuner avec avec le lait et l'huile. On perd un peu le plaisir de casser les oeufs, de mesurer la farine, de prendre le batteur ... et on risque de laisser croire aux enfants que la cuisine c'est simple comme bonjour.
Mais au moins on n'a pas une montagne de vaisselle à faire ensuite, et pas besoin d'appareil électrique genre batteur, ni de risquer une tendinite du coude à force de malaxer.
Il faut juste de la patience car le nappage ne se fait que sur les gâteaux complètement refroidis. Autant dire que ce n'est pas le dessert minute. Un minimum d'anticipation s'impose.
Sortie du four très prometteuse. On n'est pas trop mal même si c'est moins gonflé que sur l'emballage, la faute sans doute à mon sous dosage légèrement en dessous des deux tiers.
Sortie du four très prometteuse. On n'est pas trop mal même si c'est moins gonflé que sur l'emballage, la faute sans doute à mon sous dosage légèrement en dessous des deux tiers.
Le lendemain le temps est venu de s'occuper du nappage. Le mode d'emploi recommande de ne pas attendre pour ensuite saupoudrer de pépites, mais vous n'avez pas besoin de vous presser. Aucun risque que le mélange ne durcisse. Il est peut-être un peu délicat à déposer en "faisant une pointe". Là encore c'est une question de tour de main. Et c'est bon ... comme une mousse au chocolat.
Le plus dur sera de déposer les fameuses pépites sans se tacher le bout des doigts. Le résultat est élégant (bonne idée d'avoir prévu des pépites de chocolat au lait pour donner un gout supplémentaire) et très satisfaisant en terme de goût, loin d'être trop sucré comme trop souvent avec ce type de gâteau, totalement plébiscité par la famille et par les copines qui ont hérité d'une boite cadeau.
Je vais maintenant attaquer la version vanille-noix de pecan ... et préparer un thé parfumé dont je vous parlerai bientôt en détail.
Mes cupcakes au chocolat, et mes cupcakes aux éclats de noix de pecan, sachet base gâteau, sachet nappage et sachet de pépites, kit complet pour 12 cupcakes, prix moyen 3, 40 €, collection Les Inrattables de Francine, comme le pain, ou la pizza, ou encore le crumble.
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