Douceur de vinaigre, une jolie appellation qui plairait à Amélie Nothomb (je vous dirai pourquoi dans deux jours) et que j'ai découverte ce mois-ci dans le Sud-ouest, exactement à Lautrec, auprès de la cuisinière-teinturière Françoise Carrayol dans sa Ferme au village.
Je n'ai pas encore imaginé de recette pour la version à la cannelle mais j'ai ouvert le flacon de Douceur au gratte-cul qui est une création maison obtenue avec un mélange de sucre, vinaigre de miel, cynorrhodon et hibiscus.
Françoise le recommande sur des salades, pour caraméliser une viande rouge et un gibier, sur un fromage de brebis et en décoration d'assiette avec tous les desserts.
Je l'ai laissé goutter au milieu d'un fromage blanc où j'avais intégré quelques pincées d'un mélange pour pain d'épices, entre une alignée de tranches de pêches blanches et un émietté de meringues aux cacahuètes. Avec une feuille de basilic pour offrir un parfum supplémentaire.
Deux présentations sont possibles. Soit en vrac, style Eton Mess, (qui originellement est composé de fruits, d'amandes , de crème fouettée et de meringue brisée d'où le nom de "mess") dans un bol assez haut, qui a ma préférence.
Soit à l'assiette, plus élégamment sans doute.
Ce qui est primordial, c'est la personne avec qui on le partage et le décor extérieur, de belle campagne ensoleillée.
Ce qui est primordial, c'est la personne avec qui on le partage et le décor extérieur, de belle campagne ensoleillée.
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