
Publications prochaines :
mardi 21 septembre 2021
Pour autrui, texte et mise en scène de Pauline Bureau

vendredi 1 décembre 2023
Neige, la dernière création de Pauline Bureau
Il y a des spectacles dont on garde longtemps les images en tête, particulièrement parce qu’elles sont belles, ou au contraire violentes, et surtout qu’elles bousculent durablement notre perception de la réalité et notre imaginaire. Je pourrai citer Denali, mais parmi les plus anciens c’est surtout à André Engel que je pense. Qui d’autre que lui est capable aujourd’hui de transformer la scène d’un théâtre en banquise, de vous faire vivre une tempête et surtout de ressentir dans vos tripes l’émotion de la mort d’une reine ?
Pauline Bureau ! Et elle s’y prend avec douceur et intelligence pour nous montrer que la transmission entre une mère et sa fille peut évoluer du conflit vers la paix.
Pour ce faire elle embarque un théâtre dans sa globalité dans l’univers des contes et nous installe au coeur d’une profonde forêt, la plus belle, où s’élancent de haut bouleaux noirs et blancs semblables à ceux que Klimt a immortalisés. Elle nous arrête dans notre promenade au pied d’une immense citerne pleine d’eau où chacun des adolescents fera un plongeon vivifiant, marquant leur naissance au monde. Cette immersion signe leur avènement à un univers nouveau, celui des adultes, dans lequel ils vont entrer sous nos yeux sans perdre pour autant leurs qualités enfantines.
J’ai vu beaucoup de spectacles de Pauline Bureau dont je trouve le talent immense. J’aime sa capacité à s’indigner, que ce soit à propos du scandale sanitaire du Mediator, avec Mon coeur, ou de la lutte pour le droit des femmes à disposer de leur corps, avec Hors-la-loi et Pour autrui. J’aime aussi sa capacité à convoquer le rêve pour lustrer les relations humaines, les dépouiller de leurs oripeaux colériques et les sublimer, les remettre debout. Comme l’écrivait le poète-chanteur-philosophe Julos Beaucarne dans sa lettre ouverte de février 1975, Il faut reboiser l’âme humaine.
Le contexte est différent, bien sûr, mais c’est ce à quoi s’emploie très exactement cette metteuse en scène : Allume ma vie et éteins ma peine. Je lècherai tes larmes et tu répareras mon cœur. La vie est sauvage. On n’a rien à perdre. Même pas cinq minutes, dira le personnage du père.
Elle nous offre un moment de pur bien-être tout en nous montrant le combat d’une gamine qui devient femme et d’une mère qui change de statut, dans un mouvement symétrique et inverse. Est-ce la peur de grandir qui pousse Neige à s’évanouir à tout bout de champ, comme sa mère avant elle ? Sa mère qui voulait tout, sa carrière, et le conte de fées. Leur trajectoire va les séparer avant qu’elles ne se retrouvent, au cœur de cette forêt, magique pour qui croit au pouvoir de l’imagination et où la vie sauvage est réparatrice, à l’inverse par exemple du métier d’ingénieur agronome spécialiste de l’abattage des poulets industriels, exercé auparavant par le chasseur.
L’hiver venu, la neige recouvre les paysages, une métamorphose s’annonce. Neige, jeune adolescente, a hâte de grandir. Sa mère, elle, s’étonne de vieillir. Mais Neige a disparu, elle s’enfonçait dans la forêt la dernière fois qu’on l’a vue. Elle y croisera un prince moins charmant et un chasseur plus doux que ce que l’on nous raconte dans certaines histoires.
lundi 3 juin 2019
Hors-la-loi de Pauline Bureau

Il y a peu de mots à ce moment là mais ils sont puissants : C'est arrivé à moi et ça m'a tant changée que je ne sais plus qui j'étais avant que ça m'arrive. J'ai pour toujours 15 ans dit la Marie-Claire d'aujourd'hui en regardant la jeune fille (interprétée par Claire de la Rüe du Can).
mercredi 22 juin 2016
Dormir cent ans, Texte et mise en scène Pauline Bureau

Aurore à 12 ans. Elle sent que quelque chose change en elle. Jour après jour, elle se prend en photo pour saisir ce qui se transforme. Théo à 13 ans. Tous les après-midi, il sort de l’école, rentre à la maison et attend seul que son père arrive. Mais, il n’est pas vraiment seul. Il est avec le roi grenouille, le héros de sa BD préférée qu’il est le seul à voir. Aurore se demande ce que cela fait d’embrasser avec la langue. Théo aimerait bien savoir s’il est beau. Elle joue du piano. Il parcourt la ville en skate. Certaines nuits, ils rêvent. Et dans leurs rêves, ils se rencontrent.
Vous verrez un réfrigérateur dont la porte symbolise le passage dans un monde imaginaire, fait de rêve et de cauchemar, dans lequel les personnages évolueront avant de faire le chemin inverse pour revenir dans la réalité ... mais transformés.
Trois videoprojecteurs sont employés pour sculpter l'espace et le résultat est enchanteur.
Pour réaliser les scènes avec le tigre Yves Kuperberg s'est inspiré d'un jouet de son fils. Il a dessiné les images qui sont projetées en guise de décor. Il en résulte un monde qui se trouve à la croisée entre une bande dessinée, un album et un espace en trois dimensions. L'espace est extrêmement délimité et pourtant il autorise toutes les projections personnelles auxquelles le spectateur peut se livrer en fonction de ses connaissances. On pourra par exemple penser à l'album d'Anthony Browne, Dans la forêt profonde. D'autres songeront à Alice au pays des merveilles. Et ce ne sont pas les livres où il est question de grenouilles qui manquent.
Dormir cent ans est un spectacle radicalement différent de ce qu'on a vu jusqu'à présent. Il y aura un avant Il y aura un après. Une chose est certaine : il ne laissera personne indifférent.
Dormir cent ans
Texte et mise en scène Pauline Bureau
Dramaturgie Benoîte Bureau
Texte publié aux éditions Actes Sud-Papiers
Avec Yann Burlot, Nicolas Chupin, Marie Nicolle, Géraldine Martineau en alternance avec Camille Garcia
Création et régie lumière Bruno Brinas
Régie vidéo Christophe Touche
Scénographie et réalisations visuelles Yves Kuperberg
Composition effets visuels Alex Forge
Du 14 juin au 12 juillet 2017 (horaires variables)
Au Théâtre Paris Villettte
211, av. Jean-Jaurès - 75019 Paris
A partir de 8 ans
La photo qui n'est pas logotypées A bride abattue est de Pierre Grosbois
Tournée 2016-2017
28 et 29 sept. le Granit, scène nationale de Belfort
6 et 7 oct. le Préau CDR de Vire
18 au 20 oct. Espace 600 de Grenoble en partenariat avec la MC2, scène nationale de Grenoble
3 au 6 nov. AmstramGram théâtre de Genève - Suisse
10 et 11 nov. théâtre Romain Rolland, scène conventionnée de Villejuif et du Val-de-Bièvre
13 et 14 nov. théâtre Paul Éluard de Choisy-le-Roi
17 et 18 nov. théâtre de Charleville-Mézière
21 au 23 nov. le Grand R scène nationale de la Roche-sur-Yon
1er et 2 déc. théâtre de Privas
7 au 10 déc. le théâtre scène nationale de Sénart
6 et 17 déc. théâtre la Piscine de Châtenay-Malabry
3 et 4 mai théâtre du Parc Andrézieux-Bouthéon
9 et 10 mai 2017 - l'Arsenal Théâtre Val de Reuil
23 et 24 mai 2017 - Théâtre la Liberté, Scène nationale de Toulon
30 et 31 mai - Le Moulin du Roc, scène nationale de Niort
6 et 7 juin 2017 - Le Parvis scène nationale Tarbes Pyrénées.
Le spectacle est nominé aux Molières 2017 dans la catégorie Jeune Public
Il repartira en tournée la saison prochaine d'octobre 2017 à juin 2018.
mercredi 7 mars 2018
Les bijoux de pacotille de Céline Milliat Baumgartner, mise en scène de Pauline Bureau

dimanche 19 mars 2017
Mon coeur, mise en scène de Pauline Bureau, encore un scandale pharmaceutique

Pauline Bureau, dont je suis le travail depuis plusieurs années, a écrit Mon coeur, pour le théâtre, sur ce même sujet, le scandale du Mediator, qui fut prescrit comme coupe-faim par des médecins peu scrupuleux. On dit que de 1976 à 2009, il a fait entre 1000 et 2000 victimes en toute connaissance du laboratoire Servier, fabricant de la molécule incriminée.
vendredi 9 mars 2012
Le meilleur des hommes de Pauline Bureau au Théâtre de la Tempête
L’auteur est né en 1981, l’année de l’apparition du Sida et de l’élection de François Mitterrand. C’est en 2008 qu’il a publié son livre. Les faits sont réels mais forcément regardés avec le recul historique et avec la distance de celui qui ne les a pas vécus, du moins les plus anciens.
Annoncé comme une fable, le livre, a été décrypté à sa sortie comme un possible texte à clés inspiré de la vie de Didier Lestrade, fondateur de Act Up (phonétiquement proche de l’association Stand up citée dans la pièce), et de celle de Guillaume Dustan, magistrat le jour, écrivain et fêtard la nuit, prônant les rapports sexuels son protégés.
On nota aussi des ressemblances avec Alain Finkielkraut, celui-là même qui écrira plus tard que toute déclaration d’amour est une déclaration d’éternité, ce qui est très proche des paroles du personnage de Jean-Michel : aimer c’est s’engager à aimer même quand on n’aime plus tout à fait, par respect pour la promesse d’avoir voulu aimer toujours.
Pauline Bureau et sa sœur Benoite ont ajouté leur propre prisme en radiographiant leur génération et celle qui précède de manière à la fois personnelle et contemporaine en se posant une question essentielle : quelle est la place que l’on a été celle qu’on nous donne ?
Le spectacle a une tonalité très actuelle qui a surpris la salle le soir de la première. Le plateau de la salle Jean-Marie Serreau est noyé dans une brume d’où émerge une forêt de micros sur pieds. Le décor est minimaliste : une table où deux chaises se font face. Sol, murs, fond de scène, tout est anthracite.
Le brouillard se dissipe, laissant deviner la mezzanine abritant le mini-studio de musique où Vincent Hulot interprétera la musique en direct, à la guitare ou à la batterie. Ce n’est pas nouveau comme dispositif. Je l’avais apprécié dans la mise en scène d’Invasion ! par Michel Didym (reprise jusqu’au 16 mars au Théâtre 71 de Malakoff) mais cela fonctionne bien.
Quelques traits de pinceau de lumière rose vif, la couleur de l’enfance pour envelopper les 8 comédiens qui chanteront en direct, plantés chacun devant leur micro, Like a Virgin … Madonna avait fait scandale en 1985. L’interprétation est sobre, annonçant une sorte d’arrêt sur image avant de revenir quelques années en arrière.
Suivent les présentations des quatre personnages principaux avant que l’on n’assiste à leurs amours, leurs désamours, et leurs confrontations. C’est Elisabeth Levallois, alias Val (Marie Nicolle) qui commence. Parisienne de 33 ans, journaliste de gauche mais âme d’infirmière, mère maniaco-dépressive et maitresse de son ancien prof.
Son ami, William Miller, alias Will (Thibaut Corrion) est né le 27 octobre 1970 sous le signe du Scorpion. Il est fan de la Guerre des Étoiles.
L’amant (Zbigniew Horoks), Jean-Michel Leibowitz, prononcer Laïbo, juif Aubervilliers, excellent élève, adorant Flaubert, à l’époque, précise-t-il, aurait voulu être reporter. Il collaborera à Libération.
Et puis, Dominique Rossi, alias Doumi (Régis Laroche) le collègue corse, de mère italienne, grand-père médecin réputé, reçu en 1982 dans une grande école, futur fondateur de Stand Up.
Il faudrait citer les autres comédiens, excellents. Par exemple Nicolas Chupin (qui jouait d’ailleurs à la création d’Invasion !) inénarrable Jean-Philippe Bardotti, en conseiller de l’ANPE avant que ce ne soit Pôle Emploi.
Les dialogues font mouche. Leur force est d’évoquer à la fois le sujet et son contexte. Par exemple (en 1981 et sachant que c’est un homme qui parle) t’embrassais un mec tu faisais la révolution d’octobre !
On peut situer aujourd’hui l’apparition du Sida aux années 80 mais la cause n’était alors pas identifiée. On s’étonne de 5 cas de pneumocystoses le 5 juin 1981 alors que la probabilité pour un médecin de rencontrer une telle maladie était proche de zéro. Ce n’est que deux ans plus tard, le 3 février 1983, que le professeur Montagné découvrira le virus responsable.
On rentrait dans une putain de période. Et le comédien d’égrener les prénoms des premiers décès.
Les chiffres sont redonnés. Le sida faisait 500 morts aux USA quand il n’y avait « encore » que 50 cas en France. C'est un fléau qui a fait plus de 28 millions de morts dans le monde.
Après les 2000 morts recensés en 1999 on a connu un résultat encourageant avec 600 morts l’année suivante (grâce aux progrès des nouveaux traitements) mais hélas la courbe remonte constamment jusqu'à 1700 en 2011, laissant présager qu’elle pourrait dépasser bientôt le cap des années noires.
Il faut savoir que 150 000 personnes vivent avec le VIH en France en 2011 et que plus de 50 000 personnes ignorent leur séropositivité … Cette affection n’est pas devenue un mirage, loin de là. La contamination progresse toujours, notamment chez les hommes de plus de 50 ans qui ont recours au Viagra et qui ne songent pas à employer des préservatifs.
L’année de la chute du mur de Berlin, 1989, marque la naissance d’Act up (Stand up dans la pièce) une association de malades pour les malades, ayant pour objectif de lutter aussi contre les idées reçues. Les images d’archives soutiennent l’attention en ponctuant les scènes majeures. Pauline Bureau fait preuve d’une jolie imagination dans sa mise en scène. Le moment du départ en week-end dans une voiture imaginaire, avec des claquements de portière qui sont eux bien réels, alors que le paysage défile comme si on regardait dans le rétroviseur est un joli effet.
C’est ensuite la découverte de la musique house européenne, dont Didier Lestrade a effectivement contribué largement au développement alors que Claude Barzotti continue de chanter le titre qui l’a rendu célèbre à partir de 1983, Je suis rital.
L’attentat à la station Saint-Michel du RER B, le 25 juillet 1995, coïncide avec le début des trithérapies. Mais la projection des images d’archives ou l’interprétation des chansons d’époque ne respectent pas systématiquement la chronologie.
On se souvient tous de la voix haut perchée de haut de contre de Jimmy Summerville dans Small Town Boy (Le Garçon De La Petite Ville) et des paroles du refrain Run away, turn away, run away, turn away, run away (Sauve toi, détourne toi ). La chanson a été créée en 1984 mais elle arrive plus tard dans le spectacle et la sobriété de Marie Nicolle s’accompagnant à la guitare est purement bouleversante.
On revoit la sortie de Jospin après le face à face le Pen/Chirac pour les présidentielles de 2002 ; le coup de tête de Zidane (2006). Est-ce le temps qui passe ou nous qui passons … ?
La réponse nous est donnée par la voix de Diane tell chantant Si j’étais un homme (en 1980) :
Je t'offrirais de beaux bijoux,
Des fleurs pour ton appartement,
Des parfums à vous rendre fou
Et, juste à côté de Milan,
Dans une ville qu'on appelle Bergame,
Je te ferais construire une villa,
Mais je suis femme et, quand on est femme,
On n'achète pas ces choses-là.
Il faut dire que les temps ont changé.
De nos jours, c'est chacun pour soi.
adaptation et mise en scène Pauline Bureau
au Théâtre de la Tempête - salle Jean-Marie Serreau
du mardi au samedi à 20h, le dimanche à 16h jusqu’au 7 avril 2012
Cartoucherie, route du Champ-de-Manœuvre, 75012 Paris. Tél : 01 43 28 36 36
Contact: 01 43 28 36 36 billetterie@la-tempete.fr
Rencontre-débat avec l'équipe du spectacle le 14 mars et avec Tristan Garcia le 22 mars
vendredi 1 avril 2022
Nominations de la Cérémonie des Molières 2022
Le Champ des possibles - Elise, chapitre 3 d'Élise Noiraud
Mise en scène Élise Noiraud Compagnie 28
Lettres de mon moulin d’Alphonse Daudet avec Philippe Caubère
La Métamorphose des cigognes de et avec Marc Arnaud
Mise en scène Benjamin Guillard à La Scala et au Théâtre Comédie Odéon
La Promesse de l’aube de Romain Gary, avec Franck Desmedt
Mise en scène Stéphane Laporte et Dominique Scheer au Théâtre Le Lucernaire
mardi 2 avril 2019
Les nommés de la 38 ème Nuit des Molières

lundi 6 mai 2024
35 ème cérémonie des Molières
L'agitation commence dès 18 heures avec les premières arrivées. C'est le bon moment pour commencer à poser en équipe devant les photographes. Tous les espoirs sont encore permis. Tout à l'heure seuls les possesseurs de statuette monteront sur le podium décoré de costumes créés par la si merveilleuse Pascale Bordet, hélas disparue cette année et qui méritait cet hommage. J’y reviendrait au moment où la soirée consacre quelques minutes aux artistes qui nous ont quitté en 2023.

Le public installé dans la salle a sans nul doute ressenti quelques frissons avec la mise en place de l’orchestre des Sapeurs Pompiers de Paris, magnifiquement chorégraphiée, interprétant un medley où l’on reconnaît l’indicatif de la célèbre émission Champs-Elysées sur laquelle Caroline Vigneaux fait une entrée plutôt tonitruante qui dénote avec le flegme que l’on reconnaissait à Michel Drucker, mais le ton est donné : Ce soir c'est à mon rythme que la soirée se déroulera.
lundi 13 mai 2019
La cérémonie de la 38 ème Nuit des Molières

mardi 23 juin 2020
Les Molières attribués ce soir à 7 primo-moliérisés

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