C'est vrai que le cadre est magique. La cuisine y est joliment présentée. Le personnel charmant.
Mais mais mais mais
Mais mais mais mais
Le décor est japonisant et kitsch à souhait. Les fauteuils semblent sages mais attention à la bascule. On croit reconnaitre un visage. C'est un autre qui surgit. Trois hologrammes pour vous tourner la tête.
Des escaliers fluo. Un sumo. Une moquette de galets. Une ambiance qui pourrait être délicieuse.
Mais mais mais mais la fête c'était hier à ce qu'on m'a dit. Le carnaval est fini. Les masques sont tombés. Ce soir les lumières baissaient d'un cran toutes les demi-heures. Nous sommes partis avant minuit.
Mais mais mais mais, ne le disons à personne !
Les curieux pourront focaliser le regard sur des zones plus artistiquement éclairées. Le hall en lui-même est un vertige.
Mais mais mais mais la fête c'était hier à ce qu'on m'a dit. Le carnaval est fini. Les masques sont tombés. Ce soir les lumières baissaient d'un cran toutes les demi-heures. Nous sommes partis avant minuit.
Mais mais mais mais, ne le disons à personne !
Les curieux pourront focaliser le regard sur des zones plus artistiquement éclairées. Le hall en lui-même est un vertige.
Kong, 1 rue du Pont Neuf, 75001 Paris
NB : ceux qui voudraient dîner sous la verrière devront arriver très tôt pour y être placés. La maison ne prend pas de réservation. C'est le premier qui gagne et c'est une bonne idée.
1 commentaire:
Excellent article. Cela fait plaisir de lire une critique si bien tournée. Le Kong n'a se tenir à carreau.
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