Les marques communiquent de plus en plus avec les bloggeurs qui échangent sur le sujet par facebook interposé. S’il est légitime d’informer les lecteurs lorsque les articles sont rétribués (c’est parfois le cas et le sujet peut faire débat car quelle liberté de pensée peut-on avoir dans ce contexte ?) est-il aussi nécessaire de les prévenir qu’on a été invité spécialement à découvrir tel ou tel produit ?
Certaines situations ne sont pas équivoques. Lorsqu’on indique qu’on a gouté quelque chose dans le cadre d’un Festival ou d’un Salon il ne fait pas de doute que la rencontre a été organisée. En général on ne parle d’ailleurs que de ce qui nous a plu et que l’on estime « mériter » quelques lignes.
C’est différent lorsqu’on accepte une invitation particulière. Vous me direz que là encore on pourrait conserver notre neutralité et notre objectivité mais cela me semble difficile de dénigrer un produit quand on a été très bien reçu. Inversement il est gênant d’être dithyrambique quand il s’agit d’un produit industriel mis sur le marché par une entreprise qui dispose d’un vrai service de communication alors qu’on serait plus « utile » à défendre un artisan qui fait bien son travail malgré des conditions d’exploitation difficiles.
Pour le moment j’arrive encore à faire la part des choses : être à l’affut de nouveautés sans succomber devant les sirènes. C’est ainsi que j’ai retrouvé d’autres bloggeurs (à force on se connait) dans un petit restaurant italien, 34 rue des Saints-Pères, dans le 7 ème arrondissement de Paris, réputé pour son tiramisu (ce n’est pas le sujet mais je vous le recommande) pour un apéritif dinatoire organisé par Barilla.
Après deux années de recherche et développement la marque italienne a réussi à imaginer un dispositif qui permette de déguster des pâtes parfaitement al dente avec une sauce gouteuse. Une fois révélé le principe est simple et comme il est déposé je peux bien vous l’expliquer.
Les pâtes sont pré-cuites et la sauce est contenue dans un des deux compartiments de la barquette. Le tout se réchauffe en même temps au micro-onde 90 secondes chrono. Et le fin du fin c’est que ce compartiment de sauce étant détachable il n’y a plus qu’à en verser le contenu sur les pâtes chaudes. Finies les pâtes molles d’avoir baigné dans la sauce !
Deux autres avantages sont appréciables : i n’y a pas de conservateur ajouté parce que le processus consiste en une stérilisation. Et le tout est conservable à température ambiante une douzaine de mois. C’est tout de même plus agréable de stocker ces boites dans un placard que d’encombrer un congélateur. Elles seront aussi facilement transportables pour déjeuner sur son lieu de travail pour un prix raisonnable (2,99 euros conseillé).
Certaines situations ne sont pas équivoques. Lorsqu’on indique qu’on a gouté quelque chose dans le cadre d’un Festival ou d’un Salon il ne fait pas de doute que la rencontre a été organisée. En général on ne parle d’ailleurs que de ce qui nous a plu et que l’on estime « mériter » quelques lignes.
C’est différent lorsqu’on accepte une invitation particulière. Vous me direz que là encore on pourrait conserver notre neutralité et notre objectivité mais cela me semble difficile de dénigrer un produit quand on a été très bien reçu. Inversement il est gênant d’être dithyrambique quand il s’agit d’un produit industriel mis sur le marché par une entreprise qui dispose d’un vrai service de communication alors qu’on serait plus « utile » à défendre un artisan qui fait bien son travail malgré des conditions d’exploitation difficiles.
Pour le moment j’arrive encore à faire la part des choses : être à l’affut de nouveautés sans succomber devant les sirènes. C’est ainsi que j’ai retrouvé d’autres bloggeurs (à force on se connait) dans un petit restaurant italien, 34 rue des Saints-Pères, dans le 7 ème arrondissement de Paris, réputé pour son tiramisu (ce n’est pas le sujet mais je vous le recommande) pour un apéritif dinatoire organisé par Barilla.
Après deux années de recherche et développement la marque italienne a réussi à imaginer un dispositif qui permette de déguster des pâtes parfaitement al dente avec une sauce gouteuse. Une fois révélé le principe est simple et comme il est déposé je peux bien vous l’expliquer.
Les pâtes sont pré-cuites et la sauce est contenue dans un des deux compartiments de la barquette. Le tout se réchauffe en même temps au micro-onde 90 secondes chrono. Et le fin du fin c’est que ce compartiment de sauce étant détachable il n’y a plus qu’à en verser le contenu sur les pâtes chaudes. Finies les pâtes molles d’avoir baigné dans la sauce !
Deux autres avantages sont appréciables : i n’y a pas de conservateur ajouté parce que le processus consiste en une stérilisation. Et le tout est conservable à température ambiante une douzaine de mois. C’est tout de même plus agréable de stocker ces boites dans un placard que d’encombrer un congélateur. Elles seront aussi facilement transportables pour déjeuner sur son lieu de travail pour un prix raisonnable (2,99 euros conseillé).
Quatre recettes ont été élaborées et nous aurions bien entendu pu les gouter toutes … sauf que la conscience (professionnelle) a ses limites. J’ai commencé par quelques bouchées de Fusilli Alle Verdure qui sont des fusilli aux légumes.
Les pâtes n’ont pas un aspect très encourageant ; elles sont amalgamées. Mais la sauce embaume, incitant à la verser, soit pour partie, soit totalement, selon qu’on les aime avec un peu ou beaucoup d’accompagnement. Il suffit de remuer à la fourchette et l’ensemble devient illico appétissant.
L’épreuve du test est positive pour tout le monde. Plaisir, praticité et qualité sont bien au rendez-vous. Par pure gourmandise, je peux maintenant me régaler avec la recette que je trouve la plus originale par rapport à ce que je cuisine habituellement : les Penne All’Arrabbiata, traditionnelles en Calabre, où la sauce tomate est véritablement relevée par la puissance du piment rouge.
Il y a aussi une proposition sauce tomate et basilic sur des Penne et le grand classique italien que sont les Maccheroni Alla Bolognese. C’est peut-être sur cette barquette que les puristes attendront le chef concepteur au tournant. Je les laisse se prononcer sans les influencer davantage.
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