La soirée de clôture a débuté avec la traditionnelle remise des Prix, ponctuée de discours qui furent suffisamment courts pour qu'on ait envie de les écouter avec attention. Cette 10 ème édition restera dans les mémoire d'un public qui, jusqu'au bout aura vu sa curiosité récompensée.
Le Prix des jeunes scolaires a été attribué à un court-métrage, Le Gruffalo, des réalisateurs Jakob Schuh et Max Lang, avec Helena Bonham Carter et James Corden.
Le Prix du public - Courts métrages va à Ya Basta ! Ya Basta !, des réalisateurs Gustave Kervern et Sébastien Rost, avec Augustin Legrand et Stéphanie Pillonca. Les courts-métrages ont remporté un tel succès que promesse est faite de les reprogrammer d'ici fin 2011.
Le Prix jeune public a été annoncé par une enseignante de l'école Jules Verne qui a souligné combien les élèves de CP avaient pris leur rôle de juré au sérieux. Leur façon de regarder un film sera sans doute modifié durablement après cette expérience. C'est Le Vilain petit canard, de Garri Bardine, qui l'emporte.
Nouveau cette année, le Prix des Jeunes a été attribué au film de Bouli Lanners Les Géants, que le porte-parole de ce jury a qualifié étonnamment de "très drôle" (lire le billet du 16 sept)
Le Prix du Public, c'est-à-dire le film qui a remporté le plus de voix de la part des spectateurs venus tout au long de la semaine, a été révélé par Evelyne Peronneau, la présidente du Rex, pour Atmen, réalisé par Karl Markovics, avec Thomas Schubert et Karin Lischka, auquel le grand jury a décerné le Prix de la photo.
Le Grand Prix a été annoncé par Evlyne Dress, la présidente du festival, pour Atmen (titre français Contre-mouvement) du réalisateur Andrey Stempkovsky, avec Vladislav Abashin, et Olga Demidova. ce film russe attend encore un distributeur et le jury espère que cette récompense l'aidera.
Prix du développement durable fut difficile à donner, mais si on considère qu'il doit encourager un film sur la mémoire et la transmission, il est logique que ce soit Les Acacias, de Pablo Giorgelli, avec Germán De Silva et Narya Calle Mamani qui ait été retenu. (voir le billet du 13 sept)
Un Prix d'interprétation a été créé spécialement pour Franck Falise dans La fin du silence, qu'Evelyne Dress décrit comme le Brad Pitt français.
Le public a été invité à découvrir l'exposition de photos de Serge Assier dans le hall du cinéma. Il a photographié le quartier marseillais de l'Estaque alors que Robert Guédiguian y tournait Marius et Jeannette.
Marianne Piquet, la directrice artistique du festival, peut se réjouir d'avoir réussi, une fois de plus, à bousculer les consciences en faisant découvrir à un public "formidable" à ses yeux des courts et des longs métrages vers lesquels il ne serait pas allé spontanément. Aucune transition n'était nécessaire pour lancer les Neiges du Kilimandjaro, que nous avons découvert en avant-première, avant sa sortie nationale annoncée au 16 novembre 2011 par Diaphana.
Ce film faisait partie de la sélection Un certain Regard au Festival de Cannes 2011. Robert Guédiguian s'est entouré des mêmes acteurs qu'il dirige depuis si longtemps : sa compagne Ariane Ascaride, Gérard Meylan et Jean-Pierre Darroussin dans 13.
Autres billets consacrés à des films, tous programmés en avant-première pendant ce festival :
La source des femmes, de Radu Mihaileanu, vendredi 9 septembre
Noces éphémères de Reza Serkanian, samedi 10 septembre
Laïcité inch'allah de Nadia El Fani, dimanche 11 septembre
El Bulli, ou Cooking in progress, de Gereon Wetzel, samedi 17 septembre
Le Prix des jeunes scolaires a été attribué à un court-métrage, Le Gruffalo, des réalisateurs Jakob Schuh et Max Lang, avec Helena Bonham Carter et James Corden.
Le Prix du public - Courts métrages va à Ya Basta ! Ya Basta !, des réalisateurs Gustave Kervern et Sébastien Rost, avec Augustin Legrand et Stéphanie Pillonca. Les courts-métrages ont remporté un tel succès que promesse est faite de les reprogrammer d'ici fin 2011.
Le Prix jeune public a été annoncé par une enseignante de l'école Jules Verne qui a souligné combien les élèves de CP avaient pris leur rôle de juré au sérieux. Leur façon de regarder un film sera sans doute modifié durablement après cette expérience. C'est Le Vilain petit canard, de Garri Bardine, qui l'emporte.
Nouveau cette année, le Prix des Jeunes a été attribué au film de Bouli Lanners Les Géants, que le porte-parole de ce jury a qualifié étonnamment de "très drôle" (lire le billet du 16 sept)
Le Prix du Public, c'est-à-dire le film qui a remporté le plus de voix de la part des spectateurs venus tout au long de la semaine, a été révélé par Evelyne Peronneau, la présidente du Rex, pour Atmen, réalisé par Karl Markovics, avec Thomas Schubert et Karin Lischka, auquel le grand jury a décerné le Prix de la photo.
Le Grand Prix a été annoncé par Evlyne Dress, la présidente du festival, pour Atmen (titre français Contre-mouvement) du réalisateur Andrey Stempkovsky, avec Vladislav Abashin, et Olga Demidova. ce film russe attend encore un distributeur et le jury espère que cette récompense l'aidera.
Prix du développement durable fut difficile à donner, mais si on considère qu'il doit encourager un film sur la mémoire et la transmission, il est logique que ce soit Les Acacias, de Pablo Giorgelli, avec Germán De Silva et Narya Calle Mamani qui ait été retenu. (voir le billet du 13 sept)
Un Prix d'interprétation a été créé spécialement pour Franck Falise dans La fin du silence, qu'Evelyne Dress décrit comme le Brad Pitt français.
Le public a été invité à découvrir l'exposition de photos de Serge Assier dans le hall du cinéma. Il a photographié le quartier marseillais de l'Estaque alors que Robert Guédiguian y tournait Marius et Jeannette.
Marianne Piquet, la directrice artistique du festival, peut se réjouir d'avoir réussi, une fois de plus, à bousculer les consciences en faisant découvrir à un public "formidable" à ses yeux des courts et des longs métrages vers lesquels il ne serait pas allé spontanément. Aucune transition n'était nécessaire pour lancer les Neiges du Kilimandjaro, que nous avons découvert en avant-première, avant sa sortie nationale annoncée au 16 novembre 2011 par Diaphana.
Ce film faisait partie de la sélection Un certain Regard au Festival de Cannes 2011. Robert Guédiguian s'est entouré des mêmes acteurs qu'il dirige depuis si longtemps : sa compagne Ariane Ascaride, Gérard Meylan et Jean-Pierre Darroussin dans 13.
Synopsis : Bien qu’ayant perdu son travail, Michel vit heureux avec Marie-Claire. Ces deux-là s’aiment depuis trente ans… Leurs enfants et leurs petits-enfants les comblent… Ils ont des amis très proches… Ils sont fiers de leurs combats syndicaux et politiques… Leurs consciences sont aussi transparentes que leurs regards.Ce film très touchant situe l'héroïsme dans des actions très quotidiennes et très simples, illustrant la phrase de Jaurès : le courage c'est de comprendre sa propre vie ... autrement dit d'assumer ses choix, ce qui, comme le dit joliment la femme de Michel y'a des jours où c'est fatigant de vivre avec un héros.
Un bonheur qui va voler en éclats avec leur porte-fenêtre devant deux jeunes hommes armés et masqués qui les frappent, les attachent, leur arrachent leurs alliances, et s’enfuient avec leurs cartes de crédit … Leur désarroi sera d’autant plus violent lorsqu’ils apprendront qui a organisé cette brutale agression et pourquoi.
Autres billets consacrés à des films, tous programmés en avant-première pendant ce festival :
La source des femmes, de Radu Mihaileanu, vendredi 9 septembre
Noces éphémères de Reza Serkanian, samedi 10 septembre
Laïcité inch'allah de Nadia El Fani, dimanche 11 septembre
El Bulli, ou Cooking in progress, de Gereon Wetzel, samedi 17 septembre
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